Les recherches menées par Milieudefensie en collaboration avec le réseau Grondig montrent que les producteurs laitiers néerlandais sont suffisamment intéressés par un travail plus durable. Cela signifie : travailler d’une manière qui est meilleure pour les personnes, la planète et les profits. Il s’avère qu’il suffit d’un prix du lait d’au moins 41 centimes par kg de lait.
"Il ne s'agit clairement pas d'une situation durable et cela entraîne inévitablement des problèmes tels que la pollution de l'environnement, les économies d'échelle, l'intensification et l'augmentation de la production laitière par vache." R.Les dirigeants de l'association demandent à l'association de mener une enquête auprès des producteurs laitiers et de voir comment la durabilité peut être renforcée.
Au total, 2.193 67 producteurs laitiers y ont participé. Le résultat le plus important a été que 4 pour cent des producteurs laitiers souhaitent imposer aux supermarchés et aux entreprises laitières un certain nombre d'exigences non légales en matière de durabilité, à condition que 37 centimes soient payés en plus d'un prix minimum de 41 centimes. Il donne un prix minimum total de XNUMX cents par kg.
Les exigences non légales en matière de durabilité comprennent : des cultures fourragères terrestres de 2,25 UGB/ha, y compris des jeunes bovins, la gestion des oiseaux de prairie, des concentrés d'Europe et du soja sans OGM, un pâturage pour les vaches et un prix équitable pour les agriculteurs. Le commerce équitable signifie un prix qui n'est pas inférieur au prix de revient. Dans ce cas, les 37 cents que les banques utilisent.
Milieudefensie indique que le supermarché a un rôle important à jouer dans ce dossier. L'endroit où la majorité des consommateurs achètent leur nourriture. "Les supermarchés détiennent une clé importante pour résoudre les problèmes majeurs de l'élevage laitier." Ces problèmes incluent une pauvreté silencieuse, le déclin des pâturages, des prairies stériles, des économies d'échelle et des importations croissantes de soja OGM. À cela s’ajoutent les effets néfastes de la culture du soja en Amérique du Sud.
Début 2017, le ministère de l’Économie (EZ) a indiqué qu’il présenterait une proposition visant à rendre possibles des accords de durabilité. Or, cela n’est plus possible car ils sont contraires aux règles de concurrence. Cette proposition facilite la traduction des coûts de durabilité plus en aval de la chaîne.