À l'intérieur : lait et aliments

Les producteurs laitiers demandent à nouveau progressivement du fourrage

31 janvier 2017 - Éditorial des affaires des agriculteurs

FrieslandCampina a annoncé un prix du lait légèrement plus élevé pour février. Quelque chose que les producteurs laitiers peuvent utiliser pour mettre de l’ordre dans leur équilibre financier. Cela se reflète également sur le marché des aliments pour animaux. Mais que se passe-t-il d’autre ? L’analyse fournit cette réponse.

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Entre-temps, la hausse persistante du prix du lait a donné un peu de répit aux entreprises. Ce qui ne change rien au fait qu’il reste quand même serré par endroits. Dans le même temps, le plan de réduction des phosphates et la réduction des droits pèsent toujours sur la tête des producteurs laitiers. Cela explique pourquoi il n’y a pas encore de boom du fourrage grossier.

S’il existe une demande en maïs ensilage, elle vient essentiellement du sud du pays. Dans d'autres endroits, les achats ont été trop serrés à l'automne, c'est pourquoi les éleveurs font également rapport. En moyenne, les affaires se font entre 57 et 62 euros la tonne, gratuitement. La baisse de la récolte de maïs en Belgique a laissé des traces sur le marché tout au long de la saison, mais elle n'a pas encore provoqué de hausses extrêmes des prix.  

Le commerce de l'ensilage est beaucoup plus calme. Il n’y a pas vraiment de prix à mettre là-dessus. La plupart des producteurs laitiers disposent de suffisamment d’herbe. Un petit inconvénient dans de nombreux endroits est la deuxième coupe d'herbe. En raison des circonstances entourant la récolte, celle-ci est devenue un peu trop longue et donc moins savoureuse. Cela demande un peu plus de créativité.   

Il existe une demande constante de produits structurels. La paille de blé notamment peut compter sur une demande assez constante. Il donne un prix de 105 à 115 euros la tonne dans le bas de l'échelle. C'est une ferme gratuite. En termes de prix, la paille d'orge varie entre 110 et 115 euros la tonne. Le prix augmente automatiquement pour les produits tranchés.

Le foin de pâturage parvient moins facilement aux éleveurs, mais les éleveurs de chevaux s'y opposent. Son rendement est stable à 160 euros la tonne. Le foin de graines de graminées se déplace gratuitement entre 125 et 140 euros la tonne.

Alors que le marché du fourrage grossier reste sensible aux prix, les prix des aliments complémentaires subissent une pression légèrement plus forte. On parle de plus d’offre que de demande. Les fibres et les drêches en particulier sont très demandées sur le marché. 

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