Les producteurs laitiers ont lentement recommencé à demander de la nourriture au cours de la première semaine de février. Maintenant que la réduction du phosphate est devenue plus claire, les producteurs laitiers semblent être un peu plus prudents lors de l’achat d’aliments pour animaux. Les conditions météorologiques imprévisibles affectent également les producteurs laitiers. Cela se reflète également sur le marché des aliments pour animaux.
La situation météorologique imprévisible joue également un rôle dans l’achat d’aliments. Lorsque l’herbe devient plus humide, les producteurs laitiers ont besoin d’un nouvel approvisionnement en fourrage. Cela ne semble pas encore être le cas.
La demande de maïs d'ensilage diminue à nouveau légèrement, comme le montrent les bruits des champs. Les prix la semaine dernière se situaient entre 57 et 62 euros la tonne, sans frais. Celui-ci est tombé cette semaine à une moyenne de 55 à 60 euros la tonne, gratuitement. L’offre de maïs ensilé est supérieure à la demande des entrepreneurs, ce qui signifie que le prix va encore baisser dans un avenir proche.
La demande d’ensilage reste stable. Cela augmentera lorsque l’agriculteur pourra utiliser moins de sa propre herbe comme fourrage. En moyenne, les prix se négocient entre 40 et 45 euros la tonne, gratuitement.
La demande de paille de blé et de paille d’orge a tendance à augmenter. La paille de blé a un prix moyen compris entre 110 et 120 euros par exploitation gratuite. En termes de prix, la paille d'orge varie entre 105 et 110 euros par exploitation gratuite. Pour les produits tranchés, le prix est en moyenne 5 euros plus élevé par ferme libre.