Le pâturage ne sera pas imposé par la législation pour le moment. C’est ce qu’écrit le secrétaire d’État sortant Martijn van Dam dans une lettre au Parlement.
Le pâturage reste pour l’instant sous la responsabilité du secteur laitier. Le point de départ est d’encourager le pâturage volontaire. Ceci peut éventuellement être complété par des règles juridiques.
Martijn van Dam, démissionnaire, écrit qu'il a ordonné une enquête. Cette recherche doit examiner comment les acteurs du secteur peuvent encourager le pâturage volontaire. Cette recherche devrait ensuite fournir aux acteurs de la chaîne de l’industrie laitière des outils pour inciter les producteurs laitiers à faire paître fréquemment leurs vaches.
Van Dam ne sait pas encore si le pâturage devrait finalement être inclus dans la loi. Il étudie donc également les avantages et les inconvénients du pâturage obligatoire. "Avant d'éventuellement commencer l'élaboration d'une garantie légale, il est important d'avoir une idée claire des possibilités ainsi que des avantages et des inconvénients", écrit Van Dam dans le Lettre au Parlement sur le pâturage et réponses aux motions.
Kees Romijn, président de LTO Dairy Farming, réagit avec joie : « C'était notre engagement. Pas d'obligation de pâturage, mais c'est la responsabilité du secteur. WUR et CLM mèneront la recherche.
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