À l'intérieur : lait et aliments

La Nouvelle-Zélande dit non à plus de vaches

5 mai 2017 -Herma van den Pol

Une reprise de la production laitière. Juste avant que les vaches ne tarissent lentement, le temps croissant produit davantage de lait. Des prix plus élevés sur le Global Dairy Trade (GDT) indiquent également un bon début de nouvelle saison. Garder plus de vaches ? Le gouvernement et le secteur laitier préféreraient ne pas dire cela.

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Les producteurs laitiers néo-zélandais ont réussi à produire plus de 9 pour cent de lait en plus en mars par rapport à l'année précédente. Cela donne un volume de 1,89 million de tonnes de lait. Le niveau intermédiaire pour 2017 s'élève donc à 6,22 millions de tonnes de lait. Cela représente une avance de 1,42 pour cent par rapport à l'année précédente.

1,42

procent

plus de lait par rapport à 2016

Prix ​​plus bas 
Le fait que des litres de lait supplémentaires soient produits en Nouvelle-Zélande est déjà devenu évident à travers l'augmentation de l'offre au GDT. Cela a entraîné une baisse des prix. Ce n’est que début mai que le vent s’est inversé et que les enchères ont pris le vent en poupe. Le lait entier en poudre a augmenté à 3.233 3.000 $ la tonne. Pour la Nouvelle-Zélande, 30 XNUMX dollars constituent une sorte de limite psychologique, comparable aux XNUMX euros du prix du lait aux Pays-Bas.

C’est une bonne nouvelle pour les producteurs laitiers pour la saison 2017/2018. Cela donne la perspective d’un prix d’ouverture plus élevé. Après quelques années de pertes, les éleveurs ont la possibilité de combler les lacunes de leur bilan. La question se pose alors rapidement de savoir si les producteurs laitiers vont à nouveau agrandir leur cheptel. Mais la réponse ne vient pas des éleveurs.

Agrandir le troupeau
Il semble qu’il y ait également de nombreuses discussions entre les politiciens et l’industrie laitière en Nouvelle-Zélande. Le sujet de discussion est la taille du cheptel national. Une nouvelle expansion est décrite comme « pas intelligente ». Pour offrir au secteur un bon avenir, davantage d'opportunités se présentent dans la recherche d'une marge plus élevée et d'une réduction de l'impact négatif sur l'environnement.

Une expansion ultérieure n’est pas intelligente

La Nouvelle-Zélande est également proche de la taille maximale de son cheptel laitier. Ce n’est pas une mauvaise évolution du point de vue des risques, car les caprices avec lesquels la Chine commande du lait en poudre ont déjà mis à plusieurs reprises le marché mondial au défi. La Nouvelle-Zélande en est le principal fournisseur. La limitation de la croissance de l’offre ne peut qu’être à l’avantage des prix et, à long terme, sera positive pour les producteurs laitiers européens.       

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