Le prix du lait joue en sa défaveur

Le deuxième cycle du programme d'abandon est déjà moins réussi

9 mai 2017 -Herma van den Pol - Réaction 1

Les producteurs laitiers peuvent toujours s'inscrire pour bénéficier de l'aide à la cessation de l'exploitation laitière. Le premier tour a été sursouscrit en une journée, mais l’enthousiasme pour le deuxième tour est bien moindre. Ce qui joue un rôle à cet égard, c'est le prix du lait, combiné aux prix de vente relativement bas des bovins.

Au premier tour, le dispositif stopper a rapporté 1.200 2 euros par vache laitière. Au tour 730, la prime ne dépasse pas 10 euros par vache. Cela s'explique en partie par le fait que le secteur laitier n'est pas autorisé à apporter une contribution de XNUMX millions d'euros. Un montant qui a été collecté grâce à l'augmentation de la contribution à ZuivelNL, mais qui s'est avéré par la suite contraire aux règles en matière d'aides d'État. 

730

euro

par vache

Ouverture le 8 mai
lundi 8 mai le programme est ouvert et il peut être invoqué jusqu'au 14 mai 2017. Lubbert van Dellen, camionnette accon avm, liet eerder al aan Boerenbusiness weten dat hij denkt dat degenen die wilden stoppen, die kans al grepen in de eerste ronde van de stoppersregeling. 

Pour participer au programme Stopper, le nombre de bovins au 26 avril 2017 est pris en compte. Cette date ne s'applique que s'il y avait moins de bovins présents au 1er octobre 2016. Cela signifie également que ceux qui participent avant la première date de référence ont pris des mesures pour éviter un prélèvement/amende pour les mois de mars et avril. 

Ceux du premier tour avaient la possibilité de proposer une autre utilisation de la terre, mais maintenant que la saison de croissance a déjà commencé, c'est beaucoup plus difficile pour ceux du deuxième tour.

Uniquement des vaches gestantes provenant directement de l'entreprise

Un autre facteur qui joue un rôle est la combinaison du prix du lait et du prix du bétail. Bunnik a enregistré des prix plus élevés pour les vaches d'abattage et de saucisse au cours de la semaine 19. L'exportation de vaches gestantes depuis plus de 5,5 mois est autorisée dans ce cycle. A condition qu’ils soient exportés directement de l’entreprise. Habituellement, les pays exportateurs demandent d'abord une période de quarantaine plus ou moins longue avant d'accueillir les animaux. La question est alors de savoir quels pays défendront les animaux provenant directement de la ferme laitière.

Pour qui est-ce intéressant ?
Au total, le dispositif n'est intéressant que pour ceux qui ont décidé de passer à un autre modèle économique (par exemple l'élevage de jeunes bovins). La question reste de savoir combien de producteurs laitiers choisiront finalement de participer à ce cycle.    

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Herman van den Pol

Herma van den Pol travaille chez Boerenbusiness depuis 2011 et est devenue au fil des années une experte du marché du lait et des aliments pour animaux. On peut également la voir chaque semaine dans le flash du marché sur le marché des produits laitiers.
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commentaires
Réaction 1
Piet Roskam 11 mai 2017
Ceci est une réponse à cet article :
[URL=http://www.boerenbusiness.nl/melk-voer/artikelen/10874433/stoppersregeling-ronde-twee-nu-al-minder-succesvol][/url]
Beau couple!
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