Quelle est l'importance d'un bon mariage entre les matières grasses et les protéines, les principaux composants du lait ? La réponse à cette question est fournie par l'Institut économique allemand de la nutrition (IFE). La laiterie belge Milcobel n'est pas concernée par cela et parvient tout de même à surpasser les transformateurs hollandais.
Lentement mais sûrement, le prix du lait écrémé en poudre se redresse en mai, mais durant le mois d'avril, c'est l'inverse qui s'est produit. Cela a juste empêché le prix de retomber au niveau très bas de début 2016. En avril, le prix sera de 169,2 centimes le kilo, ce qui correspond à un prix de la protéine de 12,6 centimes le kilo.
Les graisses peuvent-elles compenser les protéines ?
Le prix du beurre se porte beaucoup mieux. C'est en fait un plus et ressort à 419,6 cents le kilo. Cela se traduit par une valorisation de 18,6 cents le kilo. Reste alors à savoir si l'augmentation de la graisse est suffisante pour compenser la dépréciation de la protéine. La réponse est non. Par exemple, le prix indicatif du lait à la ferme chute de 4 % de matières grasses à 31,2 cents le kilo.
C'est une indication avec laquelle la plupart des producteurs laitiers ne sont pas d'accord. Milcobel non plus. Le transformateur de lait belge annonce qu'il maintiendra le prix du lait stable. Il le fait pour le troisième mois consécutif, avec lequel le prix du lait continue de battre les cotations néerlandaises. Cela signifie également que le prix des matières grasses restera à 3,0435 euros par kilo, contre un prix des protéines de 5,6522 euros par kilo.
Lorsque nous traduisons cela aux niveaux néerlandais, cela donne un prix du lait de 36,42 euros pour 100 kilos de lait. Ceci avec un approvisionnement annuel de 600.000 XNUMX kilos de lait. C'est un bon début de deuxième quart-temps.
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