Les producteurs laitiers non agricoles recevront 8,3 % de droits de phosphate en moins sur le montant des droits de phosphate alloués en 2018. Le plan d'urgence sera élargi pour inclure les débutants.
Le secrétaire d'État à l'Économie Van Dam a annoncé mercredi le pourcentage de réduction dans une lettre adressée à la Chambre des représentants. Par rapport au nombre de vaches élevées au 2 juillet 2015, les producteurs laitiers non agricoles bénéficieront d'une réduction de 8,3% du montant des droits de phosphate accordés. "Le pourcentage de remise est nécessaire pour descendre en dessous du plafond européen", écrit Van Dam. Ce pourcentage a été déterminé après avis du CDM et du comité des situations d'urgence.
Les règles d'urgence élargies
Les règles d'urgence seront élargies à deux catégories d'entreprises. Celui-ci adopte l'avis de la commission sur les goulots d'étranglement des droits de phosphate. Il s'agit de créateurs d'entreprise et d'entreprises qui se trouvent dans une situation extraordinaire en raison de projets d'intérêt général, avec pour conséquence qu'ils possédaient moins de terrains ou moins d'animaux au 2 juillet 2015. Les projets d'intérêt général impliquent la réalisation d'une réserve naturelle, le la construction ou l'entretien d'infrastructures publiques comme une route ou la mise en place d'un service public général comme la construction d'un câble électrique. D'autres exemptions ne sont pas incluses dans la loi.
Dans son avis, le comité d'urgence a examiné si les conséquences pour les autres éleveurs étaient justifiées et si les groupes d'exploitations pouvaient être suffisamment définis.
Sous réserve de dérogation
Le système de droits sur le phosphate entrera en vigueur en 2018, en fonction des discussions avec la Commission européenne sur une nouvelle dérogation. Les droits sur le phosphate font suite au plan de réduction du phosphate, qui ramènera les émissions de phosphate aux Pays-Bas en dessous du plafond européen en 2017.
Pas pour les entreprises terrestres
Les exploitations disposant de suffisamment de terres par rapport au nombre de vaches ne bénéficieront pas de coupes génériques. Les exploitations avec un excédent de vaches relativement faible par rapport à leurs propres terres en sont en partie la cause.
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