À l'intérieur : marché laitier

200 goulots d'étranglement supplémentaires dus à l'extension de la loi sur les phosphates

17 Juillet 2017 -Jelle Feenstra

Le programme d'urgence des droits sur le phosphate sera élargi à deux catégories sur avis d'un comité d'experts. On estime que cela entraînera environ 200 nouveaux goulots d’étranglement prometteurs. À quels critères doivent-ils répondre ?

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La disposition d'urgence avait déjà pris en compte les producteurs laitiers en situation de force majeure suite à une maladie, un incendie d'étable ou une rénovation. Sur avis de la commission des pénuries de droits sur le phosphate, les règles d'urgence sont désormais élargies par un arrêté administratif comprenant deux catégories : les nouveaux créateurs et les entreprises se trouvant dans une situation extraordinaire en raison de l'aménagement de la nature ou de travaux d'infrastructure.

Un producteur laitier possédant une étable pour 100 vaches reçoit des droits de phosphate pour 75

Nouveaux partants
La première catégorie concerne les entreprises nouvellement créées. On estime qu'il existe environ 150 fermes laitières. S'ils peuvent démontrer qu'au 2 juillet 2015, ils possédaient nettement moins de vaches que la capacité stable disponible, ils se verront attribuer 50 pour cent de la différence de droits. Concrètement : un producteur laitier qui possédait une écurie de 100 logettes et qui comptait 2 vaches dans l'étable au 2015 juillet 50 se verra attribuer des droits de phosphate pour 75 vaches.

Critères
L'éleveur laitier doit être en mesure de démontrer, sur la base d'un certain nombre de critères, qu'il s'agit bien d'une exploitation laitière nouvellement créée. Seul l'élevage de jeunes bovins est exclu. Par exemple, une entreprise n'est en crise que si, à la date de référence, les bovins laitiers ont produit au moins 10 pour cent de kilogrammes de phosphate en moins que prévu si la capacité était pleinement utilisée. Les éleveurs doivent également pouvoir démontrer qu'ils ont contracté une obligation financière irréversible avant le 2 juillet 2015 et qu'un permis d'environnement avait déjà été accordé avant cette date. De plus, le nouveau starter ne peut pas avoir produit de lait avant le 1er janvier 2014 et la production laitière à la ferme doit avoir débuté entre le 1er janvier 2014 et le 2 juillet 2015.


Entreprises en situation extraordinaire
La deuxième catégorie concerne les entreprises se trouvant dans une situation extraordinaire du fait de la réalisation d'une réserve naturelle, de la construction ou de l'entretien d'infrastructures publiques ou du fait d'une utilité générale. Cela concerne tout au plus quelques dizaines d’exploitations laitières. La densité de peuplement au 2 juillet 2015 doit donc être inférieure d'au moins 5 pour cent, sinon l'entreprise doit être temporairement hors terre. Les éleveurs qui souhaitent en bénéficier doivent pouvoir prouver par des papiers leur situation extraordinaire.

Exprimé en droits de phosphate, cela représente environ 600.000 14.500 droits, ce qui correspond à environ XNUMX XNUMX vaches laitières. 

Augmenter au maximum 1 pour cent
Un principe important de la commission était que l'augmentation de la remise sur les génériques, afin de pouvoir faire face aux goulots d'étranglement, devait être limitée à un maximum de 1 pour cent. Exprimé en droits de phosphate, cela représente environ 600.000 14.500 droits, ce qui correspond à environ 1 XNUMX vaches laitières. La commission n'a pas considéré qu'une augmentation de plus de XNUMX pour cent était proportionnée par rapport aux sociétés qui bénéficient désormais de la réduction supplémentaire sur les génériques.

Le comité consultatif spécial sur les questions de droits sur le phosphate comprenait l'ancien président du LTO, Gerard Doornbos, actuellement directeur de la digue à Rijnland, le directeur du Staatsbosbeheer Chris Kalden, l'ancien directeur du LTO Dirk Siert Schoonman et l'ancien haut responsable de l'EZ Hanneke Heukers.


Obligation d’investissement irréversible
Sur avis dudit comité, aucune mesure d'urgence ne sera prévue pour les entreprises ayant des obligations d'investissement irréversibles. La commission estime que le groupe d'entrepreneurs confrontés à une situation financière difficile suite à l'introduction du système de droits sur le phosphate est très diversifié et qu'il existe de grandes différences dans les causes sous-jacentes de la situation financière difficile. Désigner ces entreprises comme problématiques rendrait la remise sur les génériques beaucoup trop élevée. Le comité conseille au secrétaire d'État de consulter le monde des affaires afin de développer une approche plus efficace pour soutenir les fermes laitières saines confrontées à des difficultés économiques.

Les entreprises biologiques ne sont pas considérées comme une pénurie

Les fermes laitières biologiques ne constituent pas non plus un problème. La commission estime que les producteurs laitiers biologiques terrestres ne se distinguent pas des fermes laitières conventionnelles terrestres dans la perspective de la directive sur les nitrates et de la décision de dérogation. Les deux types d’entreprises contribuent à la production de phosphate. De l'avis de la commission, les entreprises qui se convertissent à l'élevage laitier biologique ne sont pas concernées de manière disproportionnée par la date de référence du 2 juillet 2015 par rapport aux entreprises conventionnelles. Selon la commission, cela s'applique également aux entreprises possédant des races bovines rares.

500 à 1000 accidents
Avec ces deux nouvelles catégories, LTO estime le nombre total de goulots d'étranglement ayant une réelle chance d'être classés comme goulots d'étranglement entre 500 et 1000 XNUMX entreprises.

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