Les prix de la paille se calment un peu

Le prix de la paille de blé non coupée au cours de la semaine 6 sera de 135 à 140 € la tonne franco à la ferme, un niveau considéré par le commerce comme un sommet temporaire. Des prix plus élevés ne peuvent être exclus, mais ne constituent pas encore une option. La paille d'orge est facturée au même montant et le produit coupé se vend plus de 10 €.

Même si les prix de la paille ont augmenté de plus de 20 % depuis août, l'offre reste loin d'être suffisante. Cela est dû, d'une part, à des problèmes de qualité résultant d'échecs lors de la récolte, mais d'autre part, à l'attitude des agriculteurs. Les agriculteurs français donnent encore avec parcimonie paille le long de. En revanche, la demande est stable, tant de la part des producteurs laitiers que d’autres secteurs.

Rareté de divers produits
La paille de colza reste toujours aussi rare. Les lots qui sont encore là se vendent à des prix élevés. Les prix devraient être d'environ 175 € la tonne. Le prix de la Fétuque rouge et de la Fétuque élevée est de 150 € la tonne, gratuitement. Les produits sont un peu moins rares que la paille de colza, mais c'est tout.

C'est beaucoup plus calme en anglais Raai (135 € la tonne, gratuit). Un produit qui n’est pas vraiment apprécié des producteurs laitiers. Le foin de prairie est principalement apprécié des éleveurs de chevaux et se vend 170 € la tonne. Les producteurs laitiers disposent également de suffisamment d’ensilage, ce qui signifie que les échanges commerciaux sont minimes. Si le produit est suffisamment sec, il trouvera son chemin vers les propriétaires de chevaux.

Les vendeurs tiennent le coup
Il y a une pression sur le prix du maïs ensilage. Les choses restent calmes dans ce segment des flux ; quelque chose qui se traduit par des prix très répandus. Le prix moyen est de 56,25 € la tonne, gratuit. Cela signifie que le prix est légèrement inférieur au niveau de l'année dernière. Ensuite, ce fut le demande de la Belgique qui a permis de contrôler le prix, c'est maintenant parce que les vendeurs ne veulent pas se séparer du produit à des prix inférieurs. Il y a une demande accrue de pommes de terre fourragères, mais ce marché ressemble également à un mouvement de vague. Le prix est compris entre 25 et 27,50 € la tonne, gratuitement.

Dans les sous-produits, le prix des drêches est tombé entre 2,25 et 2,35 euros par pourcentage de matière sèche. Cette réduction est le résultat d’une offre accrue due à une production de bière plus élevée, combinée à une demande moindre. L'offre de concentré de levure de blé est également plus importante, ce qui entraîne une réduction de 0,10 € par pour cent de matière sèche. Cela se traduit par un bénéfice d'environ 30 € par tonne. Les fibres du presse-pomme de terre restent stables.

Les réductions des sous-produits peuvent être attribuées, entre autres, à : développements dans le blé. L'euro plus cher contribue également à maintenir le prix des matières premières alimentaires dans des limites. Une augmentation était visible dans le prix farine de soja et de colza. Quelque chose qui peut entraîner des changements dans le menu.Le prix du maïs ensilage est légèrement inférieur à celui de 2017.