Les prix des droits sur le phosphate continuent d'augmenter

Les prix des droits de phosphate se redressent vers la fin mars. D'une manière générale, le trading est une extension du situation la semaine dernière. Même si les affaires reprennent, les échanges restent décrits comme calmes. 

Prix ​​plus élevé
Pourtant, les choses supplémentaires sont efficaces un prix plus élevé sur. Il semble que le prix aura la possibilité d'atteindre un niveau plus réaliste. Il propose une fourchette de prix de 180,75 € à 183,25 € par droit, ce qui se traduit par un prix moyen de 182 € par droit. La majorité des transactions concernent 5 à 7 vaches, bien que des transactions impliquant jusqu'à 15 vaches soient également déclarées.

Lorsque des quotas sont achetés, cela vise principalement à absorber la réduction de 8,3 %. Dans des situations moins graves, une production laitière plus élevée par vache joue également un rôle. Certaines personnes évoquent le « May count », qui donne un aperçu de la comptabilité du fumier et encouragerait l'action. Une production plus élevée par vache signifie que davantage de droits sont nécessaires pour absorber la production de phosphate. Cependant, cela n’est en aucun cas confirmé par toutes les parties.

Les conseillers en alimentation animale montrent même que si la production laitière par vache reste aussi élevée, les producteurs laitiers auront trop peu de droits à la fin de l'année. Ils notent que les producteurs laitiers ne sont pas encore suffisamment préoccupés par les conséquences d'une production laitière plus élevée par vache. Une autre raison, qui constitue également un argument en faveur de l’achat, est l’agrandissement du cheptel. Il s'agit de mettre plus de vaches dans une nouvelle étable.

Pourquoi l'acheteur n'achète-t-il pas ?
La tranquillité des acheteurs s'explique de diverses manières. Par exemple, le manque de clarté autour du Programme d’Urgence est pointé du doigt. Cependant, on ne sait pas encore plus, car la dérogation pour des normes plus larges en matière d'engrais n'a pas encore été accordée. De plus, les acheteurs trouvent le prix trop élevé.

L’évolution de l’offre reste une hypothèse. Il n’est même pas certain que les producteurs laitiers qui ont participé au programme Stopper et souhaitaient vendre leurs droits l’aient déjà fait. Il existe également une incertitude quant aux entrepreneurs qui ont reporté leur arrêt. Continuent-ils à traire ou les droits ont-ils déjà disparu du marché ?

En revanche, les vendeurs visent des prix plus élevés. L'année n'a pas encore 3 mois et cela signifie qu'ils ont encore beaucoup de temps. Il ne semble donc pas que les prix baisseront de si tôt. Cela fixe le cadre. De nouveaux développements devraient à nouveau stimuler le marché. En attendant, l’impasse entre acheteurs et vendeurs domine le terrain de jeu.