Les droits sur le phosphate sont soudainement épuisés

Le commerce apparemment stable des droits sur le phosphate s'est transformé en un marché opportuniste. La raison en est que Carola Schouten (ministre de l'Agriculture, de la Nature et de la Qualité alimentaire) a annoncé la semaine dernière les soi-disant goulots d'étranglement. ne pas se rencontrer venir. L’impact de cette situation est bien plus important que beaucoup ne le pensaient auparavant.

C’est quelque peu surprenant, car c’est Schouten qui était censé prendre cette décision. Un certain nombre de producteurs laitiers auraient également reçu un « non » à leur objection. commande droits sur le phosphate.  

Achetez-le quand même
Le résultat est qu'un certain nombre de producteurs laitiers ont reçu des éclaircissements et sont donc confrontés à un choix : acheter des droits sur le phosphate ou supprimer le bétail laitier. Dans de nombreux cas, cette dernière solution n’est pas privilégiée, car le prix du lait se situe à un niveau raisonnable et est également en hausse. Les commerçants nous font savoir que le téléphone rouge chaud où l'on a le sentiment que l'ensemble de l'industrie laitière des Pays-Bas (en crash ou non) se renseigne pleinement sur les droits sur le phosphate. La crainte de nombreux acheteurs est que les prix remontent à plus de 200 €.

Les vendeurs font allusion à une hausse des prix. L'offre disparaît donc du marché. Cela crée un décalage, ce qui se traduit par un marché très restreint. De nombreux commerçants s’attendent à ce que les vendeurs l’emportent. Actuellement (23 mai), il n’y a pratiquement plus d’offre disponible. Le prix DCA des droits de phosphate augmente de 9 € à 192,50 € par droit. 

(Le texte continue sous le graphique)Les prix des droits de phosphate sont en passe de dépasser le plus haut provisoire de 2018.  

200 € sont à nouveau en vue
Il est prévu que les offres recommencent à partir de 200 €. Ce montant reste la limite psychologique à laquelle les vendeurs proposent, mais les acheteurs abandonnent. Une hausse des prix est donc à prévoir, même s'il est impossible de dire si les prix dépasseront réellement les 200 euros. Puisqu'une augmentation de prix d'environ 10 € par semaine est possible, ce niveau ne peut être exclu à court terme.