Les éleveurs ralentissent, rapportent divers commerçants de fourrage. Il en résulte un marché très calme, avec des prix stables.
De calme Le marché est dû au fait qu'il était encore possible d'obtenir suffisamment de fourrage pendant les mois de septembre et d'octobre, comme les troisième et quatrième couper l'herbe et terminer la récolte du maïs. "De plus, les éleveurs n'ont pas de portefeuille bien garni pour l'instant, ils n'achètent donc que ce qui est vraiment nécessaire", rapporte un commerçant de fourrages.
Y aura-t-il une pénurie de paille ?
Le prix de la paille (paille d'orge et paille de blé) reste stable à 135 € la tonne livrée à l'exploitation. Cela signifie que le prix est légèrement plus élevé que les années précédentes, à l'exception de l'année dernière. Cette année-là, le prix en décembre était d'environ 135 € la tonne, gratuitement.
Divers commerçants rapportent que l'offre de paille en provenance de France diminue rapidement, ce qui donne la possibilité au prix d'augmenter. Cependant, certains commerçants affirment également qu'il existe encore suffisamment de stocks disponibles au Royaume-Uni et en Allemagne. "Il est donc difficile d'estimer s'il y aura finalement suffisamment ce sera de passer l'hiver", explique un commerçant.
Prix élevé du foin de prairie
Le prix du foin de prairie s'élève à 210 € la tonne en franchise à la ferme. Selon les différents commerçants de fourrages, cela est dû principalement au stock limité du produit. Le prix du foin de prairie n'est pas descendu en dessous de 33 € la tonne gratuite depuis la semaine 200 et il n'est pas prévu que cela se produise de si tôt.
Peu de commerce de ray-grass vivace
Le prix du ray-grass vivace reste stable à 160 € la tonne libre à la ferme. Les commerçants indiquent qu'il y a peu d'échanges commerciaux concernant ce produit. "Le vendeur n'achète pas et le vendeur ne vend pas. Cela signifie que le prix ne peut pas bouger", expliquent-ils.
Le prix des drêches reste également stable et s'élève à 2,60 € par pour cent de matière sèche. L’offre est faible, mais la demande reste la même. Cela se traduit par une hausse des prix. Il y a également peu de demande d’ensilage, ce qui entraîne une légère baisse des prix. Le prix cette semaine s'élève à 50 € la tonne offerte à la ferme.
Pas de commerce
Il n'y a eu aucun commerce de pommes de terre fourragères, de fétuque élevée, de fétuque rouge et de prairie des prés ces dernières semaines. Ces prix restent donc respectivement à 40 €, 150 €, 150 € et 155 € la tonne, gratuitement. Il n'y a pas non plus eu de transactions cette semaine maïs d'ensilage, où le dernier prix coté était de 65 € la tonne, sans frais.