Shutterstock

intérieur Voer

L'attente de l'acheteur crée le calme sur le marché des aliments pour animaux

4 Décembre 2018 - Kimberley Bakker

Bien qu'il y ait eu un peu plus d'excitation sur le marché des aliments pour animaux ces dernières semaines, le sentiment est à nouveau calme cette semaine. Les commerçants indiquent que le commerce se passe bien.

Souhaitez-vous continuer à lire cet article ?

Devenez abonné et obtenez un accès instantané

Choisissez l'abonnement qui vous convient
Avez-vous un conseil, une suggestion ou un commentaire concernant cet article ? Faites le nous savoir

Le prix de la paille reste également stable cette semaine (semaine 49) à 140 € la tonne livrée à l'exploitation. Divers négociants en fourrages indiquent qu’ils s’attendent à ce que les prix ne baissent pas au cours de la période à venir. Cela s’applique à tous les aliments pour animaux, car on s’attend à ce que de nouvelles modifications importantes des prix ne soient pas visibles avant janvier 2019.

Des prix stables
Comme décrit, le marché est calme, ce qui se traduit par des prix stables. Le prix du foin de prairie reste à 240 € par tonne livrée à l'exploitation et le prix des drêches reste également stable à 2,70 € par pourcentage de matière sèche. Le commerce de l'ensilage est resté calme depuis un certain temps, mais cela n'a pas entraîné de baisse des prix. Celui-ci reste à 50 € la tonne offert à la ferme, même si cela dépend beaucoup de la qualité.

Commandé avant maïs d'ensilage 65 € la tonne seront également payés gratuitement cette semaine. Ce prix est variable car il dépend de la qualité du maïs. Avec une bonne qualité, le prix peut monter jusqu'à 70 €, tandis qu'une mauvaise qualité fait baisser le prix à 45 €. Le prix du ray-grass vivace reste à 160 € la tonne franco à la ferme.

Le prix du foin de prairie reste également stable, mais à un niveau sans précédent.

Les prix de la fétuque rouge, de la fétuque élevée et de la fétuque des prés restent stables à respectivement 160 €, 160 € et 155 € la tonne franco à la ferme. Cependant, ce dernier produit n’est pratiquement pas commercialisé. Il y a également peu de commerce de produits à base de pomme de terre. "Très occasionnellement, un lot de pommes de terre rejetées est vendu", raconte un commerçant.

Acheter des droits sur le phosphate ?
Le fait qu'il soit calme surprend quelque peu les commerçants. Ils n’osent pas en donner la raison exacte, mais des rumeurs circulent. Tout d'abord, on dit que les exploitations laitières disposent actuellement de peu de liquidités, en partie à cause de l'achat de droits de phosphate.

Mais d’un autre côté, il existe également suffisamment de producteurs laitiers qui devront peut-être encore acheter des droits sur le phosphate. Dans la perspective de 2019 et de la stricte application des Schouten ils lui donnent désormais la priorité. Les commerçants espèrent que Paiements de la Politique Agricole Commune (PAC), qui sera versée ces jours-ci, générera davantage de demande.

Appelez notre service client 0320 - 269 528

ou par courrier à soutienboerenbusiness. Nl

tu veux nous suivre ?

Recevez notre Newsletter gratuite

Des informations actuelles sur le marché dans votre boîte de réception chaque jour

login