L'approvisionnement en paille et en foin commence. Cependant, l'éleveur laitier se montre quelque peu prudent car il en reste généralement suffisamment. Pourtant, la situation varie considérablement d’une région à l’autre, car une région a simplement reçu plus de pluie que l’autre.
Le prix de la paille neuve est en cours de fixation. Le prix est d'environ 110 € la tonne franco à la ferme pour la paille d'orge et de blé. L'approvisionnement vient de France, mais aussi de plus en plus des Pays-Bas.
Les producteurs laitiers ne remplissent pas leurs étables autant que l'année dernière, par exemple, car on estime qu'ils disposeront d'une quantité de paille plus que suffisante. La semaine prochaine, on déterminera la quantité de paille qui sera réellement disponible. Lorsqu'elle est sèche, la paille n'est souvent pas hachée par les agriculteurs et le producteur laitier en dispose davantage. Les prévisions annoncent pour l'instant peu de pluie.
Demande temporairement accrue de maïs ensilage
De plus, le marché de l'alimentation animale est plutôt calme, après la demande la semaine passée qui s'est réveillé. La demande de maïs ensilage a temporairement augmenté. Le prix varie autour de 70 € la tonne, mais cela ne s'applique qu'à la bonne qualité. Pour la qualité inférieure, les prix sont de 65 € la tonne. Les achats sont généralement avancés.
Il y a actuellement suffisamment de foin de prairie et peu de demande. Le prix évolue autour de 155 € la tonne. Cependant, les prix varient selon les régions. Le prix des drêches est en baisse depuis un certain temps, mais la situation a désormais changé. Le prix se situe désormais autour de 2,15 à 2,20 € par pourcentage de matière sèche. Le prix du ray-grass vivace est de 100 à 105 € la tonne. Pour la fétuque élevée, la fétuque rouge et la fétuque des prés, le prix sera majoré d'environ 130 € par tonne.
Il y a encore assez de nourriture maintenant
Les commerçants indiquent qu'il y a encore suffisamment de fourrage grossier. Cependant, cela varie considérablement selon les régions, en fonction des précipitations. La chaleur dans un avenir proche n’aura pas encore d’impact majeur, mais elle déterminera quelle sera la demande dans un avenir proche.