FrieslandCampina lance une nouvelle construction pour acheter de « l'électricité verte » directement auprès des membres. Avec ces « contrats d'achat d'électricité » (PPA), l'industrie laitière souhaite raccourcir la chaîne énergétique, comme elle le fait actuellement avec les « garanties d'origine » (GVO).
Parce que la coopérative laitière déclare ne plus vouloir utiliser de sources d’énergie fossiles, d’autres options ont été introduites pour travailler avec de l’énergie verte. Pour devenir plus durable, l'entreprise a jusqu'à présent eu recours aux soi-disant garanties d'origine. Grâce à cette méthode, l'électricité grise achetée était « écologisée ». Avec cette méthode, l’électricité et les certificats sont vendus séparément, ce qui signifie que plusieurs parties sont impliquées, chacune faisant monter le prix.
Accords d'achat d'électricité
Il y a un an, l'entreprise laitière a décidé de franchir « la prochaine étape en matière d'énergie durable » en raccourcissant la chaîne énergétique. Pour y parvenir, ils ont fait appel au fournisseur d’énergie CNS.
La méthode des contrats d’achat d’électricité est désormais une réalité. Grâce au PPA, FrieslandCampina peut acheter directement de l'énergie verte auprès des producteurs laitiers membres. De cette manière, il n'y a plus de parties entre l'achat et la vente et l'entreprise peut rémunérer ses membres en fonction du marché, selon le transformateur laitier.
50 producteurs laitiers ont déjà rejoint la nouvelle méthode PPA. Ensemble, ces « producteurs d'énergie » représentent environ 10 % des besoins en électricité de la coopérative laitière aux Pays-Bas. L’entreprise s’était auparavant fixé pour objectif d’utiliser 2020 % d’énergie durable dans le monde d’ici 100. Actuellement, c'est 94 %.
Volonté de durabilité
Ce n'est pas récemment que FrieslandCampina travaille sur la durabilité. Le transformateur de lait a précédemment introduit un programme solaire en collaboration avec l'opérateur de panneaux solaires GroenLeven. Les deux partis souhaitent installer 840.000 XNUMX panneaux solaires sur les toits des étables.
L'entreprise laitière a également lancé le programme « Jumpstart », dans le cadre duquel elle installe des mono-digesteurs dans les fermes laitières affiliées. Cette dernière n'a pas encore été un succès, en 2019 « seulement » 8 digesteurs ont été installés.
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