Le marché des produits laitiers semble apprivoisé. Cela fait déjà quelques semaines. Il y a une perspective d’une reprise des prix…
Après une période mouvementée au printemps, le marché laitier s’est lentement endormi. Les prix de presque tous les fabricants évoluent dans une fourchette étroite et ne suivent pas non plus une direction claire. Les négociants en produits laitiers parlent de faibles volumes d’échanges. De plus, les échanges sont limités au court terme. Presque aucune affaire ne sera réalisée avant le quatrième trimestre.
Entre-temps, les stocks du Système de Stockage Privé augmentent régulièrement. On y stocke désormais plus de 60.000 45.000 tonnes de beurre et 15.000 XNUMX tonnes de fromage. Les stocks de lait écrémé en poudre sont plus modérés, mais ont récemment dépassé la barre des XNUMX XNUMX tonnes. En plus de cela, il existe bien sûr également des stocks non enregistrés, ce qui signifie que les utilisateurs finaux peuvent se détendre.
Le lait en poudre descend lentement
Faute de demande, le prix du lait écrémé en poudre va baisser de 55 € à 2.100 2.840 € la tonne cette semaine. Les prix de la poudre entière et du lactosérum baissent également quelque peu. Les prix du fromage affichent une tendance stable à légèrement croissante, le cours du Gouda étant de XNUMX XNUMX € la tonne. Cela a inversé la baisse des dernières semaines. Les producteurs de fromage ne sont pas encore touchés par la baisse des stocks. Et c'est quelque chose qui surprend certains commerçants.
Le cours spot du lait DCA reste à 32 € les 100 kilos et est donc en ligne avec la valeur matière première du lait. Le prix spot du lait est également proche du niveau des prix de paiement, qui atteignent de plus en plus un plancher. Cependant, il n’y a aucune perspective de reprise pour l’instant. Pour y parvenir, le marché laitier docile doit d’abord reprendre sa trajectoire ascendante.
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