Après 4 enchères consécutives avec des cotations majoritairement rouges, le Global Dairy Trade donne une meilleure image cette semaine. La reprise des prix du lait en poudre peut être considérée comme positive, même si le cheddar est à la peine.
Le prix moyen a augmenté de 1,8% à 3,157 2,5 dollars la tonne, principalement en raison de la hausse des cours du lait en poudre. Par exemple, le lait écrémé en poudre a augmenté de 2.799 % à 2 3.000 dollars la tonne, tandis que la variété complète n'a augmenté que de XNUMX % et a ainsi dépassé la barre des XNUMX XNUMX dollars la tonne. La Nouvelle-Zélande bénéficie depuis longtemps de bonnes opportunités de vente en Asie, notamment pour le lait entier en poudre en Chine. Les États-Unis aussi prendre l'avantage des pays asiatiques qui s’approprient pendant la crise du coronavirus.
Cheddar vers le bas
Le prix du cheddar était nettement moins positif. Le prix a chuté de 3,5% à 3,641 XNUMX dollars la tonne. Cette baisse peut être considérée comme une rupture de tendance. Depuis septembre, le cheddar a fait des progrès notables. Cette baisse n'est pas un événement isolé, les prix du fromage et du cheddar sont également sous pression en Europe et aux Etats-Unis.
Une cause importante en est la baisse de la demande due aux confinements. Cela se reflète également dans le nombre de volumes échangés (35.3000 7 tonnes), qui était inférieur de XNUMX % au niveau de l'année dernière. Le GDT a peut-être légèrement augmenté, mais ce résultat ne devrait pas provoquer de retournement de situation en Europe, où le marché des produits laitiers se sent faible depuis quelques semaines.
Le prix du lait inchangé
Sur la base des enchères GDT de cette semaine, la banque néo-zélandaise ASB maintient ses prévisions de prix du lait pour la saison en cours à 6,75 dollars par matière sèche de lait (environ 11,5 litres de lait). C’est presque le même taux que prévoit la coopérative laitière Fonterra.