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Bonne humeur et peu de chiffre d'affaires dans le commerce du fourrage

2 mars 2021 - Jurphaas Lugtenburg

Le marché du fourrage grossier reste calme. Les agriculteurs s’affairent actuellement à épandre du fumier et à épandre des engrais. L’accent est donc moins mis sur l’alimentation, selon divers commerçants de fourrages. L'ambiance est bonne, mais les échanges sont calmes. Ce qui est disponible trouve rapidement une destination, sans avoir à colporter.

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L’enjeu du commerce des fourrages réside actuellement du côté des achats. L’offre est limitée et les vendeurs constatent les prix élevés payés aujourd’hui. Ils ont donc également en tête un prix élevé. S’il n’est pas payé, ils préfèrent conserver les actions. Les prix restent largement stables cette semaine.

Le foin et la paille restent très demandés
Le foin de paille et de graminées reste très demandé. Cela se reflète dans les prix. Le foin des prés est devenu 5 € plus cher la tonne et s'élève à 200 € la tonne. La paille de blé coûte en moyenne environ 145 € la tonne. La paille espagnole martelée, qui est actuellement très demandée, coûte environ 5 € de plus. La paille d'orge est légèrement moins chère, à 140 € la tonne, même si certains commerçants pratiquent également le même prix pour la paille de blé et d'orge.

Le prix du foin de graminées est légèrement supérieur à celui de la paille et s'élève à une cotation de 150 € la tonne. Les plus gros volumes sont réalisés en ray-grass vivace. Il n'y a pratiquement pas d'approvisionnement en prairies.

Plus de sous-produits
D'autres sous-produits arrivent sur le marché. L'industrie de transformation de la pomme de terre a intensifié son jeu et cela se reflète sur le marché. Il existe davantage de chips et de pelures à la vapeur. L’offre de pommes de terre fourragères reste encore limitée. Le prix est monté cette semaine à 45 € la tonne.

Cette semaine, la bière épuisée reste à 2,90 € par pourcentage de matière sèche. Étant donné que les prix des alternatives sont également élevés, le produit reste populaire auprès des éleveurs.

L’approvisionnement en bonne herbe d’ensilage n’est pas écrasant. Pour une qualité supérieure adaptée aux chèvres laitières, les prix sont facturés jusqu'à environ 75 € la tonne. Le prix indicatif du DCA reste cette semaine à 70 € la tonne.

Il existe actuellement une bonne demande de maïs ensilé et l’offre reprend raisonnablement bien, même si cela varie considérablement selon les commerçants. Le prix reste stable autour de 70 € la tonne.

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