En conséquence, les stocks de beurre en Europe ont à nouveau rapidement diminué. Beaucoup plus de beurre a également été vendu dans les supermarchés. Que va faire le marché ?
Depuis le début de la crise du coronavirus, le stockage du beurre dans le cadre du système de stockage privé de la Commission européenne suscite beaucoup d'intérêt. Cela visait à soutenir le marché des produits laitiers. Cela a créé une offre de beurre qui a culminé en juillet à 65.656 4 tonnes en Europe. Le tableau ci-dessous présente le stock de beurre au cours des 2017 dernières années. C’est la première fois depuis XNUMX que l’Europe dispose à nouveau d’un approvisionnement en beurre.
La crise du coronavirus a entraîné une modification de la demande de beurre. En raison de la perte de consommation dans le secteur de la restauration, la demande du commerce de détail (supermarchés) a considérablement augmenté. Les entrepôts se sont rapidement à nouveau vidés.
La production néerlandaise de beurre s'élevait à 2020 9.500 tonnes en septembre 13.200. Depuis, ce chiffre a encore augmenté pour atteindre 2021 2021 tonnes en janvier 188.000. La production de beurre a en fait chuté dans toute l’UE. En janvier 2019, 2020 XNUMX tonnes ont été produites, alors que ce chiffre était bien plus élevé en XNUMX et XNUMX.
Des perspectives changeantes
Au cours des dernières semaines précédant Pâques, la demande de beurre a été forte. En conséquence, les prix ont augmenté rapidement pour atteindre un sommet de 4.220 XNUMX € la tonne sur le cours DCA. Maintenant que cette période est derrière nous, il semble que l’offre sera plus importante au cours des mois d’avril et mai. Cela permet à l’offre et à la demande de beurre de se stabiliser à nouveau.
Dès la réouverture du secteur de la restauration cet été, on s'attend à ce que la consommation du commerce de détail se déplace à nouveau vers le secteur de la restauration. Si l’on prend en compte la situation avant le corona, cela signifie une baisse de la demande de beurre. Il est toutefois difficile de prédire cela, car on ne sait pas si les consommateurs reviendront au même mode de consommation.