Les produits laitiers liquides sur le marché local sont trop chers pour en tirer quoi que ce soit, se plaignent les transformateurs, mais le produit disponible est quand même acheté. Ce sont de petits volumes. Le commerce est « mince », comme on l'appelle
Le prix de la crème a atteint un sommet provisoire cette semaine, semble-t-il la cotation de DCA. En moyenne, 7.265 7.200 € ont été payés par tonne, mais les prix ont encore baissé vers la fin de la semaine. Le produit s'est déjà vendu la semaine prochaine entre 6.900 XNUMX et XNUMX XNUMX euros la tonne, selon différents commerçants.
Le lait concentré écrémé ne montre aucun signe de ralentissement de la croissance ou de l’érosion des prix. La semaine dernière, c’est tout le contraire qui s’est produit. Le cours DCA a augmenté de près de 6 % pour terminer à 3.060 XNUMX € la tonne, soit presque aussi cher que le lait écrémé en poudre.
Concentré largement applicable
Le transformer en lait écrémé en poudre n’en vaut généralement pas la peine. Il se peut cependant qu'un producteur ou un commerçant ait déjà vendu un certain volume de lait en poudre sur papier, alors qu'il doit encore livrer la marchandise. Dans ce cas, le poudrage vaut la peine pour éviter une amende. Il se peut également que le concentré soit nécessaire à la production de produits frais ou même à la fabrication de fromage. Le concentré est un produit largement applicable. Le lait écrémé est également assez cher.
Le marché du lait est inconstant
Le cours du lait au comptant évolue même de manière carrément instable. Une semaine, les prix chutent fortement, puis remontent fortement, tout comme le fait un marché spot classique. Il ne s'agit pas de flux de dizaines de millions de kilos de lait, mais de camions complets, mais les prix ont indéniablement augmenté cette semaine pour dépasser les 50,00 € les 100 kilos. En France, des prix compris entre 55,00 € et 58,00 € les 100 kilos sont même payés.
Le beurre est encore loin derrière la crème en termes de prix, même si le cours du beurre a encore augmenté cette semaine de 100,00 € à 5.465 XNUMX € la tonne. Très peu de produits sont disponibles gratuitement à ce prix. L'approvisionnement en beurre du marché de consommation est limité.
Marché aux vêtements pour le beurre
Le paysage est désormais très différent du point de vue industriel. Il reste encore pas mal de beurre irlandais surgelé disponible pour environ 5.200 XNUMX € la tonne. Il semble également que des produits d’Europe de l’Est, espagnols ou portugais soient encore disponibles. L'image d'un marché aux draps surgit presque, où les commerçants surgissent soudainement avec toutes sortes de marchandises à moitié oubliées. Selon certaines informations, des produits américains et néo-zélandais seraient également en route, qui seront commercialisés en décembre. Encore assez tôt pour bénéficier de la demande européenne.
La situation sur le marché de la poudre est mitigée. Le prix du lait écrémé en poudre a légèrement augmenté cette semaine. Les prix du lactosérum en poudre se sont stabilisés, voire ont diminué (pour les destinations fourragères). Dans le même temps, le prix du lait entier en poudre a continué à augmenter considérablement pour atteindre 3.740 XNUMX euros la tonne.
Marché aux fromages à image mixte
Le marché du fromage a également connu une situation mitigée. La cotation du Gouda en feuille a légèrement baissé, tandis que celle du Cheddar et de la mozzarella a augmenté. Cela rend le fromage en feuille Gouda moins cher que le cheddar, comme c'est normalement le cas.
Dans le même temps, le prix de la mozzarella a également légèrement augmenté à 3.665 XNUMX euros la tonne, même si ce n'est certainement plus l'été. Les pâtissiers et autres transformateurs industriels ne s’en soucient cependant pas beaucoup.
En attendant, tous ces acheteurs attendent avec impatience le moment où les approvisionnements en lait augmenteront à nouveau, ce qui, espèrent-ils, fera à nouveau baisser les prix des produits laitiers.