Le bon sentiment sur le marché des produits laitiers se maintient relativement bien, même si la tendance à la hausse a désormais disparu. Même si un nouveau durcissement de la politique relative au coronavirus est dans l’air, le marché laitier permanent traite cette question avec assez de légèreté. Les prix des produits laitiers liquides résistent également assez bien.
Le marché des produits laitiers connaît également une offre restreinte cette semaine, comme c'est le cas depuis des mois. Dans le commerce des produits liquides, la production saisonnière de lait, qui augmente lentement, est à peine perceptible. L'offre est limitée et les échanges sont donc restreints. Cela est particulièrement vrai pour le lait spot. Aux Pays-Bas, le prix reste à un niveau historiquement élevé de 50,50 € les 100 kilos. En Allemagne, les prix reculent légèrement, peut-être en raison d'une offre plus large en France.
Crème et beurre tous deux
Après une correction significative des prix la semaine dernière, le prix de la crème baisse désormais moins rapidement. Le cours DCA rapporte entre 55 et 6.810 45 € la tonne. Le prix du beurre baisse quasiment dans le même ordre de grandeur : -5.200 à XNUMX XNUMX €. Cela signifie que l’important écart de prix des matières grasses laitières reste intact. Cet écart va se réduire à un moment donné, mais probablement pas à court terme, telle est l’attente du marché.
Onil tendre
Le marché du lait écrémé en poudre a reçu cette semaine le soutien de l'appel d'offres algérien Onil, même si les volumes à remplir ont été quelque peu décevants, indiquent les initiés du marché. Dans l’ensemble, la demande de lait en poudre reste bonne et la disponibilité est faible. Cela se traduit par une légère augmentation du prix, de 10 € à 3.195 4.000 € la tonne. On s’attend à ce que le marché soit presque au sommet. Cela vaut également pour le lait entier en poudre, qui approche les XNUMX XNUMX euros la tonne, mais qui a peu de chances de percer. D'autant plus que la demande chinoise de lait en poudre a quelque peu diminué, comme le montrent les chiffres des importations d'octobre.
Marché du fromage en légère hausse
Le marché du fromage est probablement le plus sensible à un nouveau durcissement de la politique corona, étant donné que la majorité de la production est consommée en Europe. Un confinement strict ne servira à rien à la consommation de fromage. Dans le même temps, les stocks sont actuellement si bas que le marché pourrait en subir les conséquences. Les prix du Gouda et de l'Edam sont encore plus élevés cette semaine et s'élèvent respectivement à 4.110 4.090 € et XNUMX XNUMX € la tonne. Le cheddar et la mozzarella sont également notés en vert.