Il y a eu peu de changement cette semaine sur le marché du fourrage grossier et des sous-produits. Les prix sont inchangés sur toute la ligne.
Bien que la tendance du marché soit inchangée, les opinions sur la façon dont se déroulent les transactions diffèrent légèrement. Un commerçant remarque une demande légèrement plus calme, tandis qu'un autre parle d'une demande légèrement relancée. Dans l’ensemble, le marché n’est globalement pas très différent. L’offre et la demande sont bien équilibrées.
Paille
Ces dernières semaines, la paille semblait plus largement disponible. Même s'il n'est pas encore nécessaire de réduire l'offre, les vendeurs de paille en France n'acceptent pas non plus des baisses de prix. Les prestataires recherchent ensuite d’autres acheteurs, rapporte-t-on. La demande se maintient à des niveaux normaux et le prix indicatif est donc assez stable, à 130 € la tonne.
Également les prix indicatifs d'autres produits fourragers, dont le maïs ensilage (72,50 € par tonne), le foin de prairie (185 € par tonne), le roseau et la fétuque rouge (145 € par tonne), le pré de prairie (135 € par tonne) et l'herbe d'ensilage. (72,50 € la tonne) sont inchangés cette semaine. L'offre de bon ensilage d'herbe est encore limitée et des prix plus élevés sont payés pour un ensilage de bonne qualité. Il y a suffisamment de fosses pour les chevaux et les jeunes bovins et les prix sont donc considérablement plus bas : entre 55 et 65 € la tonne.
Drêche de bière sur le dessus
Après des mois de hausse des prix, le prix indicatif des drêches est resté stable pour la deuxième semaine consécutive. Selon les commerçants, il semble que le marché ait atteint un sommet. Quelques acteurs constatent une légère pression sur les prix, mais cela n'est pas partagé par tout le monde. Il existe encore des délais d'attente pour la livraison des drêches et les cotations moyennes des prix indicatifs conduisent donc à une cotation stable. Les prix élevés des autres ingrédients protéiques destinés à l’alimentation animale soutiennent le marché.