Malgré des débuts difficiles il y a quelques semaines, Johan Remkes est pourtant devenu la figure centrale de la discussion sur l'azote. Qu'écrira ce retraité à l'air imperturbable dans son rapport final ? De manière inattendue, tout le monde se bat soudainement pour son audition.
Les fonctionnaires de la ministre de l'azote, Christianne van der Wal, semblent également devenir nerveux. Sinon pourquoi un autre rapport inédit et inachevé, tombé sur la table du NOS ?
Le rapport « Examen des charges critiques d'azote » a été rédigé par deux chercheurs du bureau B-ware de Nimègue et un collègue allemand de l'Agence allemande pour l'environnement. Il s'agit des dépôts d'azote en général et de leurs effets sur la nature en Europe, pas spécifiquement aux Pays-Bas. Que certaines des normes d'azote aux Pays-Bas doivent être renforcées n'est donc pas une conclusion du rapport, mais des avocats et des écologistes qui ont parlé à la NOS. Qu'il ait été écrit sous la supervision de l'ONU est également quelque chose que rapporte le NOS.
Remkes vient avec des conclusions dans la seconde moitié de septembre
Remkes laisse tout arriver. Il a également eu quelques semaines de plus pour préparer son rapport final. Ce sera maintenant la deuxième quinzaine de septembre. Des contributions à cela peuvent donc encore être apportées. On dit qu'il vient après le jour du budget, le jour où le gouvernement présente les extras pour le citoyen, coupes et coupes.
Les conclusions et recommandations que Remkes présentera seront le signal de départ d'un nouveau cycle de débats politiques. Ce qu'il trouvera n'est pas encore clair. Remkes fait profil bas. Il a laissé échapper cette semaine qu'il dira également des «choses sensées» sur la perspective dans son rapport. Remarquable, car le ministre de l'Agriculture Henk Staghouwer semble moins vouloir parler de perspective et appelle soudainement sa lettre de perspective qui précède le jour du budget la lettre de septembre.
Remkes s'en tient pour l'instant aux objectifs d'azote pour 2030. À divers points où l'agriculture aimerait voir un assouplissement, comme la valeur de dépôt critique (KDW) et les cartes de la nature, elle maintient l'incertitude au-dessus du marché.
Les organisations paysannes qui l'accompagnaient cette semaine évoquent des conversations difficiles. Le Premier ministre Rutte, qui s'entretient occasionnellement avec les agriculteurs, montre aussi surtout son côté formel. Il n'est pas non plus étranger aux jeux psychologiques, rapportent les personnes impliquées. Un exemple de ceci est d'exiger d'abord des excuses des agriculteurs participants pour les déchets sur les autoroutes, alors qu'il n'a pas été démontré qu'ils en sont responsables.
Certaines organisations d'agriculteurs craignent également d'être secrètement trompées. Cette semaine, le concept de KDWt est soudainement apparu. Il s'agit d'un KDW temporairement réduit, dans lequel les émissions étrangères sont laissées de côté. Cela permettrait de lever l'octroi de permis et l'agriculture semble aussi aider un temps, mais pas du tout sur le long terme. La crainte de ce genre de scénarios est un signe de la confiance fragile dans les consultations.
Tout le monde a intérêt à sortir de l'impasse
Ce sont toutes des choses qui influencent la discussion. Néanmoins, les parties mènent aussi des discussions de fond, car finalement tout le monde a intérêt à sortir de l'impasse. Une exception à cela peut être certaines des organisations environnementales et de la nature.
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Ceci est une réponse à l'article de Boerenbusiness :
[url = https: // www.boerenbusiness.nl/melk/ artikel/10900408/iedereen-vecht-opens-om-het-gehoor-van-remkes]Tout le monde se bat soudain pour l'audition de Remkes[/url]
@henk,
Puis émigrer. Après tout, l'herbe d'à côté est plus verte.
@henk,
Puis émigrer. Après tout, l'herbe d'à côté est plus verte.
jk a écrit :Oui super idée !! Les agriculteurs, les habitants de Groningue, les allocations parentales, les demandeurs d'accueil ont tous quitté la maison et ont tout remplacé par des demandeurs d'asile.@henk,
Puis émigrer. Après tout, l'herbe d'à côté est plus verte.