Le travail permanent se poursuit régulièrement, mais il n'est pas très excitant sur le marché du fourrage grossier. La confiance des acheteurs a parfois été meilleure. Cela n’est pas dû aux attentes médiocres du marché, mais à une politique gouvernementale peu claire et difficile à suivre pour l’agriculteur ordinaire.
La menace de coûts élevés pour la vente du fumier due à la suppression progressive de la dérogation plane comme un nuage noir sur le secteur. Être prudent avec les coûts et surtout ne pas faire de sauts insensés, c'est plus ou moins l'état d'esprit d'une grande partie des éleveurs. Il est encore trop tôt pour parler du printemps. Les éleveurs attendent et raisonnent : ils peuvent toujours acheter davantage si nous manquons effectivement de fourrage.
La situation entre les commerçants de maïs ensilage et d’herbe d’ensilage est très variable. Un commerçant de fourrages se trouve dans une région plus étendue où la demande est moindre, tandis que chez le suivant, la demande commence à augmenter. L’approvisionnement ne dure généralement pas. Il n’est pas facile pour les agriculteurs de se débarrasser de l’herbe d’ensilage particulièrement belle. Vous devez principalement compter sur des éleveurs retraités. Le Prix Indicatif DCA pour l'ensilage est de 100 € la tonne. Le maïs est plus facilement disponible, mais là aussi, le marché n'est certainement pas excédentaire. Le Prix d’Indication DCA reste stable à 100 € la tonne.
Produits de campagne
Les choses commencent lentement à changer dans les sous-produits. La campagne des endives est terminée, celle de la fécule de pomme de terre ralentit d'un cran et celle des betteraves touche à sa fin. En conséquence, certains éleveurs réduisent leurs rations. Selon les initiés, les sous-produits de la pomme de terre, tels que les pelures cuites à la vapeur, sont facilement disponibles, mais les pommes de terre fourragères restent rares. Le Prix Indicatif DCA reste le même à 60 € la tonne. Les brasseurs ont largement réalisé leurs arrêts prévus et tournent à plein régime. La gamme des drêches sera donc un peu plus large. Le Prix Indicatif DCA prend du recul cette semaine et s'élève à 4 € par pour cent de matière sèche.
En paille, le travail permanent se poursuit régulièrement. L'approvisionnement en bonne paille en provenance d'Allemagne et du Danemark est quelque peu décevant, selon les initiés. La France est le fournisseur le plus important et cela se reflète également dans les prix, qui sont beaucoup plus bas dans le sud que dans le nord des Pays-Bas. Le prix indicatif DCA pour la paille de blé et d'orge est de 140 € la tonne. Il y a peu de commerce de foin de graines de graminées. Certains éleveurs optent pour la paille, plus disponible comme produit structurel. D’autres se nourrissent de foin de prairie/digues. Le prix du foin de graminées est de 170 € la tonne et celui du foin de prairie de 190 € la tonne.