C'est désormais un modèle fixe. Chaque fois qu'un ministre menace d'intervenir sur le marché du fumier, ou mieux, chaque fois qu'on pense qu'une intervention peut être faite sur le marché du fumier, le prix des droits sur le phosphate s'envole. Encore court.
Cela a également été le cas à la fin de la semaine dernière après la publication de la lettre sur les engrais de la ministre Femke Wiersma. Le prix des droits d'achat a grimpé de 8 à 10 euros le kilo, mais seulement pendant deux à trois jours. Puis la panique s'est calmée et les échanges se sont calmés.
Actuellement, le prix des droits d’achat et de location est presque revenu au même niveau qu’avant la lettre.
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Après tout, le ministre n’a fait qu’annoncer ses intentions. La plupart des producteurs laitiers sont occupés par leurs tâches quotidiennes.
Quiconque souhaite poursuivre son développement dans les années à venir a désormais la possibilité de se procurer du phosphate à un prix relativement bas. Il n’est pas dit que les droits sur le phosphate seront encore aussi bon marché l’année prochaine. De plus, l’achat est désormais plus attractif que la location. Acheter, c'est plus de sécurité pour les années à venir, et sans remise.