Les entreprises qui opèrent principalement au-dessus des grands fleuves font état d’un marché du fumier calme. L'offre est qualifiée d'ordinaire. Cela est dû à deux choses. La première est que les éleveurs s’opposent de plus en plus aux contributions élevées à la collecte. Le deuxième point est l’approvisionnement auprès des éleveurs inscrits comme défaillants auprès des intermédiaires. Il est difficile de faire des affaires pour cette catégorie, aussi retarde-t-on l'approvisionnement le plus longtemps possible dans l'espoir d'une baisse des cotisations de collecte et, si possible, d'un marché du porc en hausse.
Du fumier a été épandu à petite échelle cette semaine en Allemagne, où la saison du fumier a débuté le 15 janvier. La météo est un gros trouble-fête, car le fumier ne peut être épandu que s'il n'y a pas de neige sur les parcelles et s'il n'y a pas de gel dans le sol. Un certain nombre de parcelles semblaient remplir ces conditions, permettant à certains intermédiaires de créer un peu de répit dans leurs ventes.
Aux Pays-Bas, il faut encore attendre février avant d'épandre du fumier. Il n’est pas dit que les conditions du premier jour de la saison d’épandage soient idéales pour l’épandage, c’est pourquoi l’espace disponible dans les fosses à fumier est toujours examiné de manière critique. On peut entendre que renforcer un peu la sécurité ne fait pas de mal. Les contributions de collecte pour la semaine 3 montrent une légère augmentation sur la base des éléments mentionnés ci-dessus.