Le beau temps de cette semaine a contribué au fait que plus de fumier a pu être épandu. Les intermédiaires indiquent que ce n'est pas encore une situation pour tout le monde sur le pont, mais la tête est terminée.
Beaucoup de fumier est actuellement épandu sur les parcelles enherbées en raison du retard causé par le temps pluvieux d'il y a quelques semaines. Cela entrave en partie les possibilités d'épandage du fumier sur les terres arables, car les entrepreneurs ne disposent plus de matériel. D’un autre côté, les terres arables sont à peine assez sèches pour épandre du fumier, mais chaque jour sec change rapidement la donne.
La météo est déterminante
La météo déterminera l’augmentation des activités terrestres au cours de la semaine à venir. La question clé pour l’intermédiaire est de savoir quelle quantité de fumier l’éleveur possède : cela va-t-il créer une pression ou non ? Jusqu'à présent, cela semble bien se passer.
Les éleveurs semblent sagement se taire sur la quantité de fumier qu’ils ont dans leurs fosses à fumier. Ils gardent également le silence sur la quantité de fumier qui doit être enlevée cette saison. En dessous, les conséquences du plan de réduction des phosphates sur le paysage agricole jouent un rôle. On s'attend à ce qu'il y ait plus d'équilibre sur le marché dans le nord du pays, mais qu'il n'y ait pas d'équilibre possible dans les régions du sud.
Le beau temps a contribué à ce que les contributions à la collecte pour le lisier de porcs à l'engrais et pour le lisier de bovins aient diminué cette semaine. Le marché du fumier évolue donc comme prévu.