Il est toujours écrit "sous réserve de changement", mais dans l'état actuel des choses, le Sénat discutera de l'introduction du système de droits sur le phosphate le 16 mai. Même si les producteurs laitiers et les acteurs qui les entourent ne savent toujours pas si la dérogation sera maintenue, ils semblent anticiper les droits sur le phosphate. Une demande accrue est constatée en avril et les prix augmentent.
Le maintien de la dérogation est devenu une condition du système de droits sur le phosphate, mais les propositions doivent encore passer l'approbation Première chambre. Un élément important sera probablement la réglementation minimale en matière d'urgence. C'est l'une des raisons pour lesquelles les producteurs laitiers ont récemment la procédure sommaire autour du règlement sur la réduction des phosphates 2017.
Des échanges de droits animés
En attendant, le temps presse. Le temps presse pour les producteurs laitiers pour se préparer à l’éventuelle introduction de ces droits. Il en résulta un commerce dynamique des droits de phosphate. Le prix a commencé le mois à 120 euros par droit, mais les prix ont augmenté au cours du mois. Début mai, le spread est de 128 à 140 euros par droit. Ce qui correspond à des prix de 5.376 5.880 à XNUMX XNUMX euros par vache laitière.
Les choses se déroulent avec réserves, mais cela montre clairement que les producteurs laitiers veulent continuer. Dans le même temps, il est utile que le prix du lait redonne confiance aux producteurs laitiers dans le marché. La demande dépasse l’offre. L’offre doit souvent venir de stoppeurs, qui continuent généralement à surveiller la situation. Un approvisionnement plus important sera fourni au cours des 2 premiers mois de 2018 si les droits sont accordés.
Financement difficile
Non seulement l’offre constitue un facteur limitant, mais le financement est également difficile. C'est parce que les banques ne financent pas encore les droits. Cela signifie que l’argent doit être obtenu par d’autres moyens ou doit déjà être disponible. Ce n’est en aucun cas le cas de tous les producteurs laitiers, ce qui signifie qu’il n’est parfois pas possible de poursuivre leurs activités. En moyenne, les transactions concernent entre 5 et 10 vaches laitières.