Nitrogen drop one-two WWF et conseillers du cabinet

Cela doit être à peu près le jeu de La Haye qui a été joué pour augmenter l'objectif de réduction d'azote à 50 à 70 %. Premièrement, des réductions d'azote d'environ 30 à 50 % ont été discutées. À la mi-mars, le pourcentage beaucoup plus élevé est soudainement jeté dans les médias. Comment est-ce possible?

L'objectif de réduction extrêmement élevé de 50 à 70 % tient dans le cabinet conseil d'ABDTopconsult, le cabinet conseil de l'administration centrale† Seul le modèle de calcul fonctionne ? Non. Cette fois, le pourcentage était également justifié sur le plan écologique, selon ABDTopconsult. Une étude écologique avait précisé qu'un tel pourcentage était nécessaire pour sauver la nature.

Quand j'ai voulu voir cette étude écologique, il y a eu un contretemps. Exactement cette étude n'était pas disponible. Le gouvernement national avait décidé de diffuser largement le contenu de l'avis du cabinet via les médias, chacun devait s'appuyer sur le fondement écologique.  

omettre des informations
L'étude écologique a été publiée un mois plus tard. Bien que sous un titre différent de celui indiqué dans les conseils du gouvernement, mais à la. Ce qui n'est pas permis, c'est qu'ABDTopconsult n'ait pas mentionné qu'il s'agissait d'une étude du Fonds mondial pour la nature avec le soutien de Natuurmonumenten.

Pourquoi cette consultation de hauts fonctionnaires mentionne-t-elle l'origine dans toutes les autres sources, mais pas dans cette étude ? Pourquoi l'avis du gouvernement n'a-t-il pas été simplement formulé : « Une étude du World Wildlife Fund a montré qu'il fallait réduire les émissions d'azote de 50 à 70 % pour sauver la nature ?

Types de retour
Si cette information a été omise dans les avis du gouvernement, que demander de plus ? Le Fonds mondial pour la nature omet beaucoup d'informations, selon notre audit. La recherche d'espèces vieille de 60 ans dans les prairies de fauche près de Wageningen avait été minutieusement menée. Cette étude a fourni une mine d'informations, telles que : le dénombrement des espèces et des échantillons de sol. Excellent matériel.

La conclusion tirée par le rapport du Fonds mondial pour la nature donne à réfléchir. Le déclin de l'espèce en 60 ans est presque entièrement attribué à l'azote. Des études antérieures sur cette zone par Wageningen UR (ou ses prédécesseurs) ont attribué ce déclin à la dessiccation. Ces rapports sont complètement ignorés par le World Wildlife Fund.

Du coup la disparition de presque toutes les espèces est entièrement attribuée à l'azote (et donc aussi à l'azote calculé, mais cela mis à part). Et oui, l'extrapolation de ces chiffres se traduit par une réduction d'azote de 50 à 70% nécessaire pour récupérer arithmétiquement les espèces disparues.    

Matière complexe
La perte de biodiversité est une question complexe et a de nombreuses causes. Dans le rapport du World Wildlife Fund, la cause de la disparition des espèces est réduite à une seule : l'azote. Vous pouvez vous attendre à cela d'organisations telles que le Fonds mondial pour la nature et Natuurmonumenten. Le fait que le cabinet de conseil du gouvernement central ne mentionne pas qu'il a obtenu la moutarde du Fonds mondial pour la nature est, à mon avis, significatif et également inacceptable.

Je conseillerais donc vivement au nouveau Cabinet de faire d'abord tester les avis émis par des tiers indépendants, avant d'en adopter quoi que ce soit.

Fantômes Rotgers

Journaliste d'investigation dans le secteur agricole

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