Nous, les humains, sommes façonnés par ce que la nature a à nous offrir. Nous produisons beaucoup de lait parce que le labour dans les zones de tourbières est très difficile. Les pommes de terre sont cultivées en abondance en raison de la délicieuse argile huileuse de la zone fluviale. Et le porc est très demandé car, autrement, on ne gagne pas grand-chose sur les sols sablonneux pauvres.
De toute façon. Mais pour bien produire, les terres en friche doivent être apprivoisées, par exemple en labourant le sol, en creusant des fossés, etc. Bref, l'homme a créé la terre selon ses souhaits.
Si nous sommes si doués pour créer notre propre territoire, nous pouvons alors aller plus loin dans l’optimisation de notre utilisation des terres. Une séparation stricte entre des appellations telles que l'agriculture, la nature, le résidentiel, etc. peut paraître simple et claire, mais elle ne favorise pas l'attractivité et la diversité. En entrelaçant les fonctions, l'espace déjà limité aux Pays-Bas peut être utilisé plus efficacement. Je souhaite donc prôner l'utilisation multiple de fonctions comme celle de puiser de la nourriture dans la nature. Qualifier le Prince Bernard de visionnaire dans ce domaine va peut-être un peu loin, mais pourquoi ne pouvons-nous pas utiliser la nature pour la production alimentaire ? Cela rend également plus attrayante la création d’une nouvelle nature.
Bien entendu, il est également possible d’organiser quelque chose du côté de la demande, afin que les gens achètent des produits bons pour notre paysage. Nous pouvons alimenter ces nouveaux besoins par un marketing intensif ou les imposer de manière paternaliste. Bien que ce dernier point soit quelque chose auquel, en tant que libéral, je suis opposé. Il est alors préférable de mettre en place des cadres larges dans lesquels se développent les besoins et les évolutions souhaitées. Ou encore plus efficace : faire venir ici des gens qui ressentent déjà le besoin de manger des produits bons pour notre paysage.
Définissons d’abord quels produits sont bons pour notre paysage. Mon point de départ est que les monocultures à grande échelle appauvrissent la qualité du paysage. Quelques exemples : les valeurs naturelles déclinent, la flore et la faune ont moins d'opportunités, la qualité des sols se détériore, le sol s'érode et les nutriments fertiles sont emportés. Et si nous utilisions un élevage « doux » comme le mouton, que l'on puisse combiner avec la nature ? Nous pouvons ainsi combiner développement de la nature et élevage.
Paître avec des moutons dans la nature, puis manger les moutons est une solution. Quelques heures de navigation dans la bibliothèque de l'université agricole dévoileront un large éventail de possibilités. Pour l'instant un petit calcul avec des moutons :
Les musulmans sont connus pour être de fervents mangeurs de moutons. L’éleveur de moutons moyen fait de bonnes affaires dans les semaines précédant la fête sacrificielle. Les estimations du nombre de musulmans aux Pays-Bas varient entre 0,65 million et 1 million environ. Pour l’instant, prenons comme point de départ 0,85 million de personnes. Un Néerlandais mange en moyenne 35 kilos de viande par an. Pour les musulmans, qu'un quart de cette partie soit constitué de mouton. 35 kilos x 25 pour cent x 0,85 million équivaut à 7,44 millions de kilos de mouton. 7,44 millions / 30 kilos de viande net par mouton / 8 moutons par hectare équivalent à 31.000 0,24 hectares de nouvelle nature agricole. Juste pour le marché intérieur. À cela s’ajoute le potentiel d’exportation. On estime que le nombre de nouvelles « personnes issues de l'immigration » cette année s'élèvera à XNUMX million. Une partie importante d’entre eux sera musulmane. Il est donc évident qu’il s’agit d’un marché en croissance.
Les chiffres sont discutables, mais le résultat montre qu’un marché pour un élevage ovin respectueux de la nature peut être créé si nous accueillons suffisamment de musulmans. La conséquence causale pourrait être que les galeries de construction redeviennent attractives, que les bergeries redeviennent rentables et que le berger redevienne un métier à part entière. Organisations nature : n’hésitez pas à emballer vos paysages muséaux.
Comme pour de nombreux marchés, cela sera également intensifié pour réaliser des économies de coûts et l'objectif principal, l'élevage ovin, sera prioritaire. Voyez-y l’opportunité de faire les choses différemment pour ce marché et de développer de nouvelles formes d’agriculture. Alors lancez-vous l’islamisation. Sauvez la nature et donc le paysage, accueillez un musulman. Et si vous allez bientôt faire vos courses chez le boucher du coin avec votre panier, pensez à notre paysage.
Où vivent la plupart des moutons aux Pays-Bas ?
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