On ne pouvait pas assister à un événement au cours des 5 dernières années sans que le thème « terroir » soit au programme. Une bonne chose, car cela signifie que les agriculteurs néerlandais travaillent à nouveau leur sol. La base de toute culture. Pourtant, les chiffres concrets prouvent le contraire. Que vaut encore ce rôle central ?
Les chiffres provisoires des superficies pour 2017 montrent que la superficie des pommes de terre aux Pays-Bas s'élève à 162.770 3 hectares, soit une croissance de 20 %. La superficie en betteraves sucrières a augmenté de 4,5 % et celle en oignons de 1.230 %. Le résultat? Historiquement peu de grains. Le titre de fonction centrale dans le plan de construction est donc mis en doute. La différence avec la culture de pommes de terre n’est que de 2018 1 hectares. Même si la superficie augmente de XNUMX % en XNUMX, la superficie consacrée aux pommes de terre restera encore plus grande. Une confusion historique.
Agrandissement du plan de construction
L’un des changements les plus fréquemment entendus pour un meilleur sol est l’élargissement du plan de construction. Cela signifie plus de céréales. Mais dans la pratique, cela se passe différemment. Les recherches d'Eurofins Agro montrent que l'approvisionnement en compost et en fumier solide est un facteur déterminant. Le plan de construction et la préparation du sol sont moins déterminants. La mécanisation est aussi un argument. La culture de la pomme de terre est une attaque contre la structure. Les machines à planter deviennent de plus en plus lourdes.
Il en va de même pour la récolte. Des récolteuses de plus en plus larges. Parallèlement à l’intérêt pour la gestion des sols, il existe un intérêt pour la mécanisation. Une recherche dans le domaine de la mécanisation est notable. Des chemins de circulation saisonniers sont utilisés, les utilisateurs choisissent des chenilles ou des pneus souples pour réduire la pression. Les bennes ne sont plus autorisées à entrer dans le pays. Pour l’instant, les avantages de cette technologie sont surtout visibles chez les concessionnaires et les fabricants. D'énormes investissements ont été réalisés en 10 ans.
Le portefeuille est en tête
En fin de compte, c’est le portefeuille qui mène. Les pommes de terre servent à financer la terre, les machines et les amendements du sol tels que le fumier et le compost. Le blé ne fait pas ça. Un niveau de prix de 150 à 160 € la tonne produit de maigres soldes. Avec les pommes de terre, il y a toujours une chance que ce chiffre soit considérablement plus élevé. Donc : cultivez d’abord plus, gagnez plus et remettez-le dans le sol. D’ici là, la superficie continuera de s’étendre.
Cet article est issu du récent rapport « Potato Market, the Analysis 2017 ». recevoir la revue.
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