En réponse aux questions de Jaco Geurts (CDA), la ministre Carola Schouten (Agriculture, Nature et Qualité alimentaire) dit qu'elle expliquera à court terme (au moins cette année) comment elle veut façonner la révision du système de bail. . Il était temps.
La révision du système de bail est discutée depuis 6 ans maintenant. L'introduction du bail libéralisé en 2007 a conduit à l'ambiguïté du système de bail. De plus, la superficie des baux réguliers diminue considérablement chaque année.
Les terres devenues disponibles sont presque exclusivement libérées sur un bail libéralisé et, en particulier, à court terme ; lequel utilisation durable des terres ne favorise pas. Dans une réponse à Boerenbusiness, un éminent délégué syndical a exprimé ainsi la vision des bailleurs : « 65 ans (maintenant 67) ans comme résiliation des terres et les jeunes agriculteurs peuvent avancer avec des formes de bail flexibles !
Rééditer
De cette manière, l'intendant indique de quoi il s'agit aux bailleurs : la résiliation des baux réguliers, suivie de la réédition en baux flexibles. Ceci alors à des prix libres et une durée limitée (sous réserve de vente bien sûr). L'Association des locataires fonciers et des utilisateurs fonciers propriétaires (BLHB) a soumis au ministre une proposition intégrale qui respecte les intérêts des métayers et des locataires.
Pour le BLHB, une option de résiliation (à l'âge de la retraite) sur les sociétés en nom propre sans successeur est négociable. En cas de réémission, les nouveaux baux réguliers constituent une alternative intéressante pour les locataires et locataires. La combinaison d'un prix de location qui peut ensuite être librement convenu avec un contrat à long terme (et possibilité de succession) est attrayante pour les familles locataires et (du point de vue du rendement) également pour les propriétaires.
Le bail flexible n'offre pas de continuité et n'est intéressant que pour l'utilisation de terres supplémentaires pendant une période limitée. Compte tenu de la position dominante du propriétaire foncier, BLHB fait valoir que le prix de location pour les baux flexibles n'est gratuit que pour les contrats d'un an et est limité par la loi pour des périodes plus longues.
Bail foncier ?
Le bail et, le cas échéant, le bail de carrière conviennent à une mise en exploitation pour une durée plus longue mais finie. Pour les cultures de haute qualité qui nécessitent une rotation des cultures (plants de pommes de terre et bulbes à fleurs), des baux de culture de 1 ou 2 ans avec un prix de bail libre restent disponibles. Les contrats de location existants doivent être respectés.
Le BLHB a également informé les représentants agricoles à la Chambre des représentants et attend avec intérêt la position du ministre.
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