Alors que les exportations de porc vers l’Italie diminuent, les Italiens achètent à nouveau davantage de porcs vivants. L'Allemagne reste un fournisseur premium en termes de volume, mais les Espagnols gagnent clairement du terrain. D'ailleurs, la consommation de viande en Allemagne affiche des chiffres inquiétants, comme le montrent les chiffres de l'AHDB Pork.
Au total, l'Italie a importé 722,900 5 tonnes de viande de porc entre janvier et septembre. Il s'agit d'une diminution de 2015 pour cent par rapport à 26. Les importations italiennes de porcs vivants affichent une nette croissance d'un total de 1,2 pour cent à 2015 million de porcs au cours des trois premiers trimestres. Les Pays-Bas et le Danemark sont les deux principaux fournisseurs, mais les exportations espagnoles ont doublé par rapport à XNUMX.
En termes d'exportations, les volumes italiens sont nettement inférieurs aux chiffres des importations. Mais les chiffres des exportations montrent une nette croissance avec une augmentation de 43 pour cent à 74.600 18. Le Japon, en particulier, est présent sur le marché italien. Néanmoins, les Italiens ne représentent pas grand-chose en termes d’exportations en Europe, compte tenu des chiffres que l’Espagne, l’Allemagne et les Pays-Bas, par exemple, peuvent réfuter. En Europe, les Italiens trouvent principalement des destinations pour leurs jambons en Espagne, en France et en Allemagne. Au total, les exportations de jambon ont augmenté de 21,100 pour cent pour atteindre XNUMX XNUMX tonnes.
Allemagne
La consommation de porc en Allemagne, l'un des marchés intérieurs les plus importants d'Europe, perd visiblement du terrain. L'Allemagne est à la fois le plus grand producteur et consommateur de viande de porc en Europe, mais également le deuxième importateur et le plus grand exportateur d'Europe. Si ces chiffres changent, cela aura un impact majeur sur le marché du porc, selon l'AMI, l'agence allemande d'information sur le marché agricole.
En Allemagne, on parle surtout de viande de porc fraîche, mais aussi de produits transformés. Les chiffres montrent que la demande se déplace vers le bœuf et la volaille. Au total, la consommation a chuté de 2011 pour cent depuis 11, à 35,8 kilos par habitant. La croissance croissante de la communauté islamique est également indiquée comme une raison pour laquelle la demande évolue.
Graphique : chiffres des importations italiennes
Source : Porc AHDB
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