Na een prima begin van 2017 kiezen de varkensprijzen in Europa een neerwaartse richting, althans in Duitsland en omliggende landen. Elders in Europa geven de varkensprijzen geen krimp en is de markt veel minder gevoelig voor de stemmingmakerij van slachterijen.
Une fois de plus, ce sont les Allemands qui poussent le marché du porc à la baisse. La cause en est la diminution des marges des abattoirs entre les prix d'achat et de vente. Bref : avec les prix d'achat actuels, ce n'est pas intéressant de constituer des stocks congelés et donc il y a moins de massacres en Allemagne. De plus, un « taux d'occupation flexible » est particulièrement visible dans les abattoirs allemands, en raison de coûts d'abattage moins élevés. Les abattoirs néerlandais abattent moins lorsqu’il n’y a vraiment pas d’autre choix. Ce n'est pas le cas à la mi-janvier. L'Allemagne étant un marché de vente important pour les porcs vivants néerlandais, elle provoque également des inscriptions rouges ici, tandis que l'Autriche (-0,05) et la Belgique (-0,05) souffrent du même problème.
La situation en France (+0,01) montre en effet l'importance de l'offre de porcs en Europe dans des plans d'abattage moyens. Malgré un marché de la viande atone, le prix du porc français augmente de 3 centime en semaine 1. L'augmentation est également due à la baisse des poids d'abattage, précise-t-on. Les cotations danoises et espagnoles sont maintenues à flot par la demande chinoise, car ces pays bénéficient encore largement des exportations vers l'Asie.
Amerika
Les prix du porc américain laissent derrière eux la baisse des prix. En octobre dernier, les prix étaient à leur plus bas niveau depuis huit ans, mais depuis janvier, ils se sont redressés d'environ 8 pour cent. À l'automne, de nombreux porcs ont été amenés en Amérique afin de réduire les coûts d'alimentation. Cela se reflète clairement dans la baisse des poids d’abattage.
Cela signifie que l'offre extrêmement importante de porcs s'est quelque peu tarie ces derniers temps, tandis que la capacité d'abattage est augmentée par divers abattoirs. Le marché intérieur de la viande aux États-Unis se redresse également, car l'Amérique se prépare pour le week-end du Super Bowl début février. Le Super Bowl est la finale du football américain et est considéré comme une fête nationale. Le secteur porcin américain affiche également d'excellents chiffres d'exportation depuis l'automne 2016, avec des niveaux records qui se dépassent.
Tout cela crée une meilleure ambiance sur le marché porcin américain. Mais la reprise est fragile, car les facteurs de hausse des prix coïncident plus ou moins par hasard.
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Une fois de plus, ce sont les Allemands qui poussent le marché du porc à la baisse. La cause en est la diminution des marges des abattoirs entre les prix d'achat et de vente. Bref : avec les prix d'achat actuels, ce n'est pas intéressant de constituer des stocks congelés et donc il y a moins de massacres en Allemagne. De plus, un « taux d'occupation flexible » est particulièrement visible dans les abattoirs allemands, en raison de coûts d'abattage moins élevés. Les abattoirs néerlandais abattent moins lorsqu’il n’y a vraiment pas d’autre choix. Ce n'est pas le cas à la mi-janvier. L'Allemagne étant un marché de vente important pour les porcs vivants néerlandais, elle provoque également des inscriptions rouges ici, tandis que l'Autriche (-0,05) et la Belgique (-0,05) souffrent du même problème.
La situation en France (+0,01) montre en effet l'importance de l'offre de porcs en Europe dans des plans d'abattage moyens. Malgré un marché de la viande atone, le prix du porc français augmente de 3 centime en semaine 1. L'augmentation est également due à la baisse des poids d'abattage, précise-t-on. Les cotations danoises et espagnoles sont maintenues à flot par la demande chinoise, car ces pays bénéficient encore largement des exportations vers l'Asie.
Amerika
Les prix du porc américain laissent derrière eux la baisse des prix. En octobre dernier, les prix étaient à leur plus bas niveau depuis huit ans, mais depuis janvier, ils se sont redressés d'environ 8 pour cent. À l'automne, de nombreux porcs ont été amenés en Amérique afin de réduire les coûts d'alimentation. Cela se reflète clairement dans la baisse des poids d’abattage.
Cela signifie que l'offre extrêmement importante de porcs s'est quelque peu tarie ces derniers temps, tandis que la capacité d'abattage est augmentée par divers abattoirs. Le marché intérieur de la viande aux États-Unis se redresse également, car l'Amérique se prépare pour le week-end du Super Bowl début février. Le Super Bowl est la finale du football américain et est considéré comme une fête nationale. Le secteur porcin américain affiche également d'excellents chiffres d'exportation depuis l'automne 2016, avec des niveaux records qui se dépassent.
Tout cela crée une meilleure ambiance sur le marché porcin américain. Mais la reprise est fragile, car les facteurs de hausse des prix coïncident plus ou moins par hasard.