Les éleveurs de porcs qui ne disposent pas encore d'épurateur d'air dans leurs écuries n'en achèteront plus, ou du moins la volonté d'investir est faible. Parce que 41 pour cent des éleveurs de porcs ne disposent pas encore d’épurateur d’air dans leur exploitation et n’envisagent pas d’investir dans cette technologie de purification.
Le HokdierScanner 2016 de l'agence de marketing agricole et d'études de marché AgriDirect montre que plus de 53,4 pour cent des élevages porcins néerlandais disposent déjà d'un épurateur d'air. Les 46,4 pour cent restants n'ont pas encore investi dans un purificateur d'air et parmi ce groupe d'entrepreneurs, seuls 5 pour cent sont encore prêts à l'acheter.
Parmi le groupe d’éleveurs de porcs qui disposent déjà d’un laveur d’air, environ 5 pour cent sont également prêts à investir dans un laveur d’air. Il s’agit probablement de ces entreprises qui n’ont actuellement investi que partiellement dans les épurateurs d’air. Ces résultats ressortent d'une étude à grande échelle menée auprès d'environ 4.200 100 éleveurs de porcs et de volailles possédant au moins 500 truies et/ou 10.000 porcs à l'engrais ou au moins 15.000 5.000 poules pondeuses, XNUMX XNUMX poulets de chair et/ou XNUMX XNUMX autres volailles.
On s'attend à ce que de nombreux éleveurs de porcs qui n'ont pas encore investi dans un épurateur d'air utilisent ce que l'on appelle le « programme des bouchons ». Un dispositif d'arrêt a été créé pour tous les éleveurs qui souhaitent arrêter leur activité entre le 1er janvier 2013 et le 1er janvier 2020. Grâce à ce dispositif, les éleveurs peuvent poursuivre leur activité jusqu'en 2020 sans avoir à répondre à toutes les nouvelles exigences.
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