Maintenant Trump décide

Le Mexique laisse entrevoir un secteur porcin plus important

24 janvier 2017 - Editeurs Boerenbusiness - Commentaires 3

Le Mexique a été littéralement le chien qui a été mordu pendant la course à la présidence de Donald Trump. Reste à savoir s’il y aura réellement un mur entre le Mexique et les États-Unis – ou s’il s’agit simplement d’un grand discours. Cependant, cela ne change rien au fait que le secteur porcin mexicain voit une opportunité d'augmenter sa production maintenant que le changement de pouvoir a eu lieu.    

Les projets mexicains peuvent laisser une marque sur le marché mondial

Des rapports récents montrent que les éleveurs de porcs mexicains ont l'intention d'augmenter leur cheptel de truies de 20 pour cent. Même si le Mexique possède déjà un grand cheptel porcin, le niveau de consommation reste beaucoup plus élevé et les Mexicains souhaitent combler cet écart en augmentant le cheptel porcin. Ces intentions sont mal accueillies aux États-Unis, car plus de 30 pour cent des exportations du secteur porcin américain sont basées sur le Mexique.

Les analystes américains considèrent donc les ambitions du Mexique comme une menace pour la position exportatrice américaine. Bien que l’Amérique puisse probablement produire moins cher que le Mexique en termes de coûts d’alimentation animale, le commerce entre l’Amérique et le Japon, par exemple, pourrait également être perturbé par le Mexique. Le Mexique a libre accès au Japon et peut donc exporter en toute tranquillité des pièces de haute qualité vers l'Asie, à condition qu'il soit autosuffisant. 

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Commentaires 3
Jan Veltkamp 24 janvier 2017
Ceci est une réponse à cet article :
[URL=http://www.boerenbusiness.nl/varkens-voer/artikelen/10873114/Mexico-hinspeelt-op-een-grotere-varkenssector-]Le Mexique fait allusion à un secteur porcin plus vaste[/url]
N'oublions pas que si aucun gouvernement ne change pendant un an, peu ou rien. Si les agriculteurs, les camionneurs ou les infirmières font grève pendant une journée, c'est la panique et le désastre. Il en va de même pour tous ces accords commerciaux. Aujourd'hui, le vent souffle dans cette direction et demain il soufflera à nouveau dans cette direction. Moins les fonctionnaires interviennent, moins il y a d’obstacles, plus les échanges se déroulent sans heurts. Car ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que nos hommes politiques créent d’abord eux-mêmes un problème (par exemple un conflit commercial) et annoncent ensuite en grande pompe qu’ils ont conclu un accord commercial. Sans les politiciens, le problème n’aurait même pas existé.
Rob Steenwinkel 25 janvier 2017
Il fait ce qu'il promet............C'EST UNE POLITIQUE QUE NOUS NE CONNAISSONS PAS ENCORE !
Aile 25 janvier 2017
il fait ce qu'il promet, il le doit. Autrement, il romprait déjà ses promesses électorales, mais la question est de savoir d’où il obtiendra l’argent. La construction ne coûte pas des millions mais des milliards.
et il veut aussi baisser les impôts...
l'argent doit arriver quelque part aujourd'hui et je ne pense pas que les Mexicains le financeront... ou s'attend-il à ce que nous, pays qui exportons vers les États-Unis (plus de taxes à l'importation), payions les coûts ?
Janvier 8 février 2017
Pour Wing, l'impression de monnaie, l'inflation, Joe est victime de sa politique. Cela ne ressemble pas à quelqu’un qui va arriver là où il est. Warren Buffet a un jour écrit une lettre ouverte affirmant qu'il paie légalement moins d'impôts que sa secrétaire.
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