Au cours des 11 premières semaines de 2017, le chiffre des abattages aux Pays-Bas n'était que deux fois supérieur à celui de l'année dernière. Les chiffres confirment que les crochets d'abattage néerlandais sont moins remplis que les autres années. Cette tendance se retrouve également dans les pays voisins.
Au cours de la semaine 11, le chiffre des abattages néerlandais enregistre 289.000 2,5 porcs. C'est 5.000 pour cent de plus que la semaine précédente. Par rapport à l'année dernière, 96,15 1,28 porcs de moins ont été abattus. Ce qui est frappant, c'est que les abattoirs recevaient principalement des porcs matures. Le poids moyen est de XNUMX kilos. Une augmentation de XNUMX kilos par rapport à l'année dernière. Un signal qui confirme que les éleveurs de porcs à l'engrais gardent les porcs plus longtemps dans l'optique d'une hausse des cours.
En Allemagne, le chiffre des abattages a également augmenté de 11 pour cent au cours de la semaine 1,6, pour atteindre 985.393 3 porcs abattus. Toutefois, ce chiffre est inférieur de près de 2 pour cent au niveau de l'année dernière et à peine de 97,53 pour cent à la moyenne quinquennale. En Allemagne, les porcs pesaient en moyenne 362.834 kilos, ce qui correspond raisonnablement aux années précédentes. En France, on note également une tendance à la hausse du chiffre des abattages avec XNUMX XNUMX porcs à l'hameçon. Ce chiffre est toutefois bien inférieur au niveau des années précédentes.
Les éleveurs de porcs et les abatteurs expriment leur horreur face aux images qui ont émergé Abattoir flamand. Juste au moment où le secteur tente de rayonner de positivité vers le monde extérieur, ce scandale éclate au grand jour. Des pratiques bizarres qui ne devraient absolument pas se produire. C'est ce qu'on dit.
Graphique : massacres en Allemagne