À l'intérieur : Porcs et aliments pour animaux

ISN est plein d'attentes sur les besoins d'importations chinoises

30 mars 2017 - Wouter Job

Ces dernières années, la production chinoise a connu une forte baisse. Cette tendance devrait se poursuivre. La politique environnementale plus stricte du gouvernement chinois contrôle la production, mais freine aussi indirectement la consommation. Comment se développe le secteur porcin en Chine et la demande sans précédent d’importation de porc européen reste-t-elle d’actualité ?

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En 2013, le cheptel de truies comptait encore un peu plus de 50 millions d'animaux. Dans les années qui suivent, les choses se gâtent et le compteur continue de décliner. Cette année également, ce nombre aurait diminué de plus de 10 pour cent pour atteindre environ 38 millions de truies. C’est du moins ce qu’attend l’USDA (le département américain de l’Agriculture).

Ce déclin peut être considéré comme le résultat direct du resserrement de la politique gouvernementale dans le domaine de l'environnement. Moins de truies signifie naturellement aussi moins de porcelets et, par extension, moins de porc. La production chinoise devrait atteindre un maximum de 51 millions de tonnes. C'est légèrement en dessous du niveau de l'année dernière.  

Les chiffres des exportations de janvier montrent des perspectives

Rareté en Chine
Ce n’est un secret pour personne : les Chinois sont devenus plus dépendants du porc importé depuis 2016. Même si les supermarchés chinois sont désormais remplis principalement de viande de porc européenne et américaine, une pénurie persiste en Chine. En conséquence, le prix du porc est plus élevé. La consommation a donc baissé de 5 pour cent cette année pour atteindre 52 millions de tonnes. Cette attente quelque peu sceptique est contenue dans un rapport sur le marché allemand. D'autres rapports supposent une croissance.

Selon l'ISN (l'organisme représentatif des éleveurs de porcs allemands), les besoins d'importations chinois resteront élevés cette année, indépendamment de la baisse des chiffres de la consommation. Les éleveurs de porcs chinois, qui veulent se développer, sont gênés de toutes parts par les réglementations environnementales. En conséquence, la pénurie demeure. En outre, la prospérité en Chine continue de croître, nuance le rapport de l'ISN. Au total, le secteur porcin européen peut compter sur une répétition des volumes de 2016.

Les ventes en Chine ont connu une croissance significative en volume

Les exportations de janvier dépassent celles de 2016
Par ailleurs, la filière porcine européenne peut réfuter les excellents chiffres d'exportation du mois de janvier. Les ventes aux trois plus grands clients d'Asie : la Chine, le Japon et la Corée du Sud ont augmenté de plus de 3 % par rapport à l'année dernière.

Les ventes vers la Chine ont connu une croissance en volume de 34,7 pour cent à plus de 157 tonnes. La Corée du Sud a également été forte sur le marché, avec une augmentation de 64,5% à 24.000 tonnes de viande de porc. Les ventres sont particulièrement populaires en Corée.

Le Japon a également importé entre 3.000 30.000 et plus de 2016 50.000 tonnes supplémentaires. Les chiffres méritent quelques nuances, car la demande chinoise n’a fortement augmenté qu’au deuxième trimestre 300.000. Au total, les exportations européennes ont augmenté de XNUMX XNUMX tonnes en janvier pour atteindre un peu plus de XNUMX XNUMX tonnes de viande de porc.  

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