L'aversion pour la viande d'ours persiste parmi les abattoirs allemands. Après Tönnies, Westfleisch réduit désormais également le nombre d'ours. Un grand revers pour les éleveurs de porcs allemands compte tenu de l’interdiction imminente de castration des porcelets.
Les adaptations du système de paiement à Westfleisch sont de la même ampleur qu'à Tönnies. Cela signifie une remise de 3 à 5 centimes par kilo de poids d'abattage. Selon l'ISN, l'association allemande des éleveurs de porcs, les éleveurs de porcs sont les victimes des changements opérés dans les abattoirs.
Maintenant que les opportunités de vente de viande d'ours sont décevantes, le producteur est réduit. Alors que dans le passé, Tönnies racontait des histoires roses sur la commercialisation de la viande d'ours.
Faille en approche
Depuis le 1er janvier 2018, il est interdit en Allemagne de castrer les porcelets sans anesthésie. C'est pourquoi, selon l'ISN, il est nécessaire d'accélérer les mesures alternatives, comme l'anesthésie locale. Autrement, les éleveurs de porcs seront confrontés l’année prochaine à un fossé infranchissable entre le marché et la politique.
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