Les abattoirs jouent aux échecs sur deux échiquiers cette semaine. D'une part, le prix est réduit et, d'autre part, le programme d'abattage est ajusté à la baisse. La dernière mesure signifie que le placement des porcs est un casse-tête.
Les abattoirs ne cachent pas que les ventes de viande sont extrêmement difficiles. Saisonnièrement, les abattages se déroulent à un rythme plus lent en raison des fêtes et l'industrie de la viande réduit sa production. Normalement, l’offre de porcs, jugée tendue, devrait pouvoir bien absorber la baisse des capacités d’abattage. Cela semble désormais trop ambitieux.
Il est difficile de faire du commerce dans le domaine de la vente de viande, tant en Europe qu'à l'extérieur de l'Europe. La Chine taquine également les vendeurs de viande en leur imposant des prix plus bas et en faisant par ailleurs de bons amis.
monnaie
Le prochain point sensible concerne les ratios de change, qui dans de nombreux cas rendent l’euro trop fort.
Ce qui précède entraîne une baisse des cotations du porc. Lundi dernier, Vion a déjà évolué de 6 centimes d'euro à 1,76 €. Compaxo a également utilisé la même mutation et est donc arrivé à 1,67 €. La viande Van Rooi est également ressortie à 1,67 €, soit également une baisse de 6 centimes d'euro. Nos voisins de l'Est ont également appliqué une modification de 6 centimes d'euro, soit 1,70 €.
Prix du porc européen
Cette semaine, l'Italie et l'Irlande ont réalisé respectivement une hausse de 0,032 € et 0,029 € dans la comparaison européenne des prix du porc. L'Espagne et la France sont restées inchangées dans la comparaison des prix cette semaine à 1,892 1,692 € et 0,021 0,070 €. Les autres pays (Allemagne, Pays-Bas, Danemark, Belgique, Autriche et Grande-Bretagne) évoluent en baisse par rapport à la semaine dernière, oscillant entre -XNUMX € et XNUMX €.