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"Des droits de porc coûteux après la fin du programme POR"

27 Septembre 2017 - Bart-Jan van Zandwijk - Commentaires 35

L'ancien secrétaire d'État Martijn van Dam a annoncé au printemps 2017 que le programme d'exonération des droits de production (POR) ne serait pas prolongé à partir du 1er janvier 2018. Une décision à ce sujet sera prise prochainement. Le POV craint que les prix des droits de porc augmentent fortement si le régime est aboli. 

Les parties CDA et VVD se sont réunies en février 2017 avec une motion visant à maintenir le régime POR. Cette motion a été adoptée à l'époque. Une décision finale doit être prise à l'automne 2017 sur le maintien du régime. Les pourparlers avec le ministère des Affaires économiques (EZ) sont en cours.

Eric Douma, vice-président de l'Organisation des Producteurs d'Elevage de Porcs (POV) estime que le dispositif POR doit être maintenu. "En combinaison avec le maintien des droits des porcs, ne pas étendre le programme POR est inacceptable."

121.622 XNUMX droits doivent être achetés en plus

noeud coulant économique
Selon Douma, la non-extension du régime POR a des conséquences majeures pour l'élevage porcin. "C'est une perte économique pour l'élevage porcin. 121.622 XNUMX droits porcins devront être achetés par les éleveurs de porcs. Cela représente un coût de plusieurs millions d'euros."

Selon Douma, la filière porcine ne peut supporter ce poste de coût. Il est convaincu que les forces du marché feront en sorte que les prix des droits de porc augmenteront fortement.

Commerce entre secteurs
Le POV est donc également opposé à l'échange de droits de production entre filières. Cela ferait grimper encore plus le prix des droits de porc. "Rendre possible un échange entre secteurs serait le glas de l'élevage porcin aux Pays-Bas. Les droits de production disparaissent du secteur, ne laissant aucune place au développement."

Ou la réduction volontaire de phosphate dans l'élevage porcin a un effet sur le maintien de la réglementation POR, Douma dit ne pas savoir. ''Cela peut jouer un rôle.'' Avec ce dispositif, l'élevage porcin contribue à l'atteinte du plafond de phosphate et au maintien de la dérogation. On estime qu'environ 830.000 XNUMX kilos de phosphate seront réduits cette année.

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commentaires
Commentaires 35
douteux 27 Septembre 2017
Ceci est une réponse à cet article :
[URL=http://www.boerenbusiness.nl/varkens-feed/artikel/10876008/dure-varkensrechten-na-einde-por-regeling][/url]
encore une fois, seule la politique est faite sur les séjours
peuvent-ils encore bientôt pour un couple
cents pour acheter les droits des utilisateurs du RUK ou ROK ça s'appelle
pour ces agriculteurs qui s'arrêtent donc mieux vaut attendre
ils ne feront que devenir plus chers dans un avenir proche maintenant qu'il y en a de plus en plus
plus de discussion vient, entre autres, d'Annie Schreijer et d'autres organisations et
de telle
steak de bacon 27 Septembre 2017
l'échange de droits de production entre secteurs est ce que DenHaag demande pour moins de porcs, et puis je préfère arrêter avec des droits de 500 au lieu de 50 euros,
éleveur porcin 42 ans
xx 27 Septembre 2017
Les droits de porc coûteux ne sont pas non plus mauvais pour ceux qui restent.
Si vous avez 5000 droits qui deviennent 100 euros plus chers, vos fonds propres augmenteront joliment d'un demi-million d'euros.
Si vous n'avez pas confiance dans les droits, vous pouvez les encaisser gentiment.
Un échange de 10% avec le bétail est vraiment une bonne chose. Les éleveurs de bétail sont impatients de remplir à nouveau cette nouvelle grange coûteuse.
anne 27 Septembre 2017
ce qui est mieux. convenir que nous convertirons un maximum d'un million de droits de porcs en vaches laitières. de manière à ce que chaque éleveur de porcs puisse vendre un maximum de 500 droits à un éleveur de vaches. alors chaque éleveur de porcs en bénéficiera.
on peut se passer d'un million de droits.
xx 28 Septembre 2017
Faites en sorte que chaque éleveur de porcs échange 10 % de ses droits.
À quel point cela peut-il être dur.
Jean 28 Septembre 2017
Cela n'arrivera pas, la haye veut une agriculture laitière terrestre. Les terres des éleveurs laitiers qui cessent vont aux fermes intensives, les droits des fermes qui cessent aux fermes extensives avec grange. Cela ramènera l'élevage laitier à l'équilibre, sans coûts d'élimination du fumier et à faible coût d'alimentation, ils restent compétitifs sur le marché européen et c'est ce qui compte.
Gijs 70 28 Septembre 2017
Qui va se passer. L'appel pour moins de porcs à La Haye est grand.
Tenez compte du fait qu'au moins la moitié des éleveurs de porcs sont favorables à une forme d'échange.
Abonné
par les pairs 28 Septembre 2017
n'arrivera pas, il y aura moins de porcs, c'est la tendance depuis des années,
il y en a déjà beaucoup moins à cause d'autres règles idiotes et rien n'ajoute de coûts, eh bien les vaches et La Haye ont exactement ce qu'elles veulent.
Kees 28 Septembre 2017
john a écrit :
Cela n'arrivera pas, la haye veut une agriculture laitière terrestre. Les terres des éleveurs laitiers qui cessent vont aux fermes intensives, les droits des fermes qui cessent aux fermes extensives avec grange. Cela ramènera l'élevage laitier à l'équilibre, sans coûts d'élimination du fumier et à faible coût d'alimentation, ils restent compétitifs sur le marché européen et c'est ce qui compte.

Les producteurs laitiers basés à terre ont également besoin de droits pour garder du bétail
je sais c'est bizarre mais vrai
xx 28 Septembre 2017
Cela semble être une astuce du POV de dire que des droits de porc coûteux sonnent le glas de l'élevage porcin.
Alors La Haye pense alors, nous devons avoir cela.
Jean 28 Septembre 2017
kes,

les producteurs laitiers s'arrêteront, et ils auront des terres et des droits. les droits reviennent au producteur laitier extensif, la terre revient au producteur laitier intensif. En fin de compte, le secteur est lié à la terre dans le plafond de phosphate stipulé et c'est là qu'il veut aller. Lorsque ce processus est terminé, la somme est très simple terre + droite + étable + vache à agrandir.

Ce qui est formidable, c'est que beaucoup de bovins laitiers sont maintenant déplacés au-dessus des rivières et que la pression du fumier sous les rivières diminue considérablement. Comme c'est maintenant, c'est exactement comme prévu.
éleveur de cochons 28 Septembre 2017
Pourquoi des droits plus chers sonneraient-ils le glas de l'élevage porcin ? C'est un fait que grandir rapidement devient plus difficile, mais est-ce si grave ? Personnellement, je ne le pense pas, les méga-entreprises/écuries à croissance rapide ne sont pas ce qu'une majorité attend.
Jean 29 Septembre 2017
Dans une entreprise actuelle, disons 4000 porcs d'engraissement à jour. La reprise est-elle déjà difficile, encore moins si 800.000 0,0 euros supplémentaires doivent être levés pour les droits, avec XNUMX sécurité pour la banque et que tout doit être financé de sa poche. Les droits n'apportent aucune rentabilité supplémentaire, ce qui a pour effet de diminuer la valeur des bâtiments, du cheptel et du sous-sol. Il n'y a plus de perspective de faire des investissements de remplacement. L'élevage laitier a un problème ici, pas le secteur porcin. Si on veut aller vers un secteur stable et rentable, il va falloir investir dans la pérennité et non dans un plafond !
Abonné
Ronnie 29 Septembre 2017
john a écrit :
Dans une entreprise actuelle, disons 4000 porcs d'engraissement à jour. La reprise est-elle déjà difficile, encore moins si 800.000 0,0 euros supplémentaires doivent être levés pour les droits, avec XNUMX sécurité pour la banque et que tout doit être financé de sa poche. Les droits n'apportent aucune rentabilité supplémentaire, ce qui a pour effet de diminuer la valeur des bâtiments, du cheptel et du sous-sol. Il n'y a plus de perspective de faire des investissements de remplacement. L'élevage laitier a un problème ici, pas le secteur porcin. Si on veut aller vers un secteur stable et rentable, il va falloir investir dans la pérennité et non dans un plafond !
Abonné
Ronnie 29 Septembre 2017
John, quelle bêtise.
Les facilités d'acquisition (fiscales) sont excellentes aux Pays-Bas.
En tant qu'éleveur de porcs entreprenant (et stayer), je pense qu'il faut toujours viser une augmentation de la valeur. L'échange de 15 % à 20 % des droits sera une excellente contribution à mon entreprise.
Puis mieux avec le temps, bon à reprendre en temps voulu. L'éleveur de porcs quittant est heureux, l'éleveur laitier est heureux et celui qui reste est heureux.
Je ne comprends pas, apparemment les contremaîtres ont peur des banques, des fournisseurs d'aliments et des abattoirs.
Mais : ces gars-là ne pensent qu'à eux-mêmes, et certainement pas au fermier qui travaille dur.
Abonné
Ronnie 29 Septembre 2017
A tous les éleveurs de porcs.
Faites entendre votre voix pour racheter.
Le Père Noël ne vient pas si souvent dans votre vie.
sceptique 29 Septembre 2017
Les soi-disant Sinterklazen sont dans ce cas les grands éleveurs de porcs qui préfèrent acheter les droits pour une pomme et un œuf maintenant, par exemple, ceux qui sont dans l'arrangement de bouchon, pour les voir devenir beaucoup plus précieux après un certain temps, et donc voir leur situation financière dans un sens positif augmenter, et pour ceux qui restent encore, ou donner à ceux qui veulent arrêter une remédiation chaleureuse.
Seront curieux de savoir combien de temps ils pourront tenir pour l'arrêter, alors qu'il y a de plus en plus de partisans
piet 29 Septembre 2017
de quel droit douma et janssen du pov pensent s'exprimer sur ce sujet sans avoir au préalable entendu leurs membres.
Jan 10 29 Septembre 2017
Le POV est aussi sourd-entendant et aveugle-voyant en termes d'échange. Que leurs oreilles n'écoutent que les grands garçons et les soi-disant partenaires de la chaîne. Ceux-ci n'ont d'intérêt que pour des droits bon marché en rapport avec le chiffre d'affaires qui leur est sacré.
Jean 29 Septembre 2017
Je regarde plutôt vers l'avenir et la relève d'entreprise est un point important à cet égard. une faible valeur des droits et une entreprise actuelle font mieux qu'une entreprise usée avec une valeur élevée des droits, sans parler des deux.

Ainsi une entreprise avec 4000 droits livre 400, gagne 160.000 2022 euros et investit dans les exigences de 3600. Dans l'intervalle, ces 400 autres droits deviennent « valant » 1.000.000 euros, disons 0,000000 100 10 d'euros. Si tout est vendu, le successeur devra mettre ce montant sur la table, ces droits offrent une sécurité de XNUMX, soit XNUMX % de votre propre argent. En attendant, cela doit être réalisé avec XNUMX% de porcs en moins.. Disons mission sans espoir... vous ne reverrez pas ce dernier investissement que vous avez fait.

Si les droits deviennent nuls, le bien immobilier prend plus de valeur, ce qui peut être facilement financé et les chances d'une reprise augmentent. Croire que les rendements augmentent quand 10% de porcs sont échangés contre des vaches, c'est comme lire Hansel et Gretel ou le grand méchant loup. Les prix des porcs et des aliments pour animaux sont déterminés au niveau international et les coûts d'élimination du fumier ne baissent pas car encore plus de fumier (azote) est produit qu'auparavant.
Hendriksen 29 Septembre 2017
Y a-t-il vraiment des éleveurs de bovins qui pensent que la baisse ne devrait venir que des élevages porcins et avicoles ?
Et que l'élevage bovin peut se développer sur le dos de la filière porcine ??

Réfléchis encore.

La Haye veut réduire l'ensemble du secteur agricole.
Egalement le secteur bovin.
Personne ne reçoit de cadeaux ici.
TDW 29 Septembre 2017
Le POV n'a rien à décider de mes droits, c'est selon moi de l'arrogance pure, en échangeant des droits, un équilibre reviendra automatiquement à l'élevage à l'avenir.
Jean 29 Septembre 2017
L'avez-vous déjà dit, que céder collectivement 10 % des droits est plus efficace que de rendre les droits échangeables ? Alors il y aura moins de fumier, les coûts d'élimination du fumier baisseront et ça deviendra rentable, je comprends que ce n'est pas intéressant pour les lâcheurs, mais d'autant plus pour les restants et les agriculteurs de demain.
xx 29 Septembre 2017
Ces 10% de droits qui deviennent interchangeables sont bien sûr les plus chers.
Prévoir 300 euros. Les autres droits non échangeables avoisineront alors probablement les 200 euros.
Donc à 4000 droits en ce moment 500.000 400 euros. Avec un échange, vous pouvez vendre 300 droits de 120.000 = 3600 200 euros. Autres droits 720.000 * 10 = 80.000 XNUMX euros. Vous pouvez utiliser ces XNUMX %. rachat pour XNUMX XNUMX euros. Au moins, vous avez un bénéfice. Si vous n'êtes pas confiant dans ces droits, vous les vendez simplement et commencez à louer les droits.
Avec ces montants, vous pouvez vraiment construire durablement.
steak de bacon 29 Septembre 2017
enfin quelqu'un qui comprend !!
xx a écrit :
Ces 10% de droits qui deviennent interchangeables sont bien sûr les plus chers.
Prévoir 300 euros. Les autres droits non échangeables avoisineront alors probablement les 200 euros.
Donc à 4000 droits en ce moment 500.000 400 euros. Avec un échange, vous pouvez vendre 300 droits de 120.000 = 3600 200 euros. Autres droits 720.000 * 10 = 80.000 XNUMX euros. Vous pouvez utiliser ces XNUMX %. rachat pour XNUMX XNUMX euros. Au moins, vous avez un bénéfice. Si vous n'êtes pas confiant dans ces droits, vous les vendez simplement et commencez à louer les droits.
Avec ces montants, vous pouvez vraiment construire durablement.
steak de bacon 29 Septembre 2017
les éleveurs de bovins échangent désormais des droits sur les phosphates pour environ 200 euros par kg. 1 droit pour un porc représente 7,4 kg. J'aimerais renoncer à 10 ou 20 % pour cela.
queue frisée 30 Septembre 2017
C'est une belle histoire théorique qui, bien sûr, ne fonctionnera pas. Peut-être 10 % de vente chère à un éleveur de vaches pour ensuite vendre également les 90 % restants à un éleveur de porcs. Gagnant-gagnant-gagnant !
Jean 30 Septembre 2017
gardez cette porte fermée et les droits du porc à 0 euros pour un avenir meilleur.
Abonné
Ronnie 30 Septembre 2017
john a écrit :
gardez cette porte fermée et les droits du porc à 0 euros pour un avenir meilleur.


Si les droits du porc passent à 0 euros, j'ai peur qu'il n'y ait pas de rentabilité et donc pas d'avenir.
éleveur de cochons 2 Octobre 2017
Selon le rapport d'agrio, la discussion va encore s'intensifier dans l'année en raison de l'arrivée du règlement sur les phosphates de 2018 et du POR
Il y aura peut-être une ouverture
Bertie 2 Octobre 2017
Mieux vaut à moitié tourné que complètement erré. (= il vaut mieux arrêter quelque chose prématurément que de continuer jusqu'à ce que ça tourne complètement mal)

Je pense très applicable à toute cette discussion
rj 9 Octobre 2017
Ronnie a écrit :
A tous les éleveurs de porcs.
Faites entendre votre voix pour racheter.
Le Père Noël ne vient pas si souvent dans votre vie.


J'ai fait!
l'agriculteur fait du mal 22 Octobre 2017
Ronnie, j'ai également répondu : NE PAS rendre les droits interchangeables et passer les droits à 0 € dès que possible. Tout ce que vous investissez dans les droits augmente le prix de revient. Je comprends aussi que les stoppeurs veulent quelque chose de différent, mais POV devrait regarder beaucoup plus les stayers.
Si les choses changent, mieux vaut s'en prendre aux éleveurs de visons et produire à bas prix en Pologne ou en Roumanie.
Abonné
Ronnie 24 Octobre 2017
Harms : J'ai également répondu : NE PAS rendre les droits interchangeables et passer les droits à 0 € dès que possible. Tout ce que vous investissez dans les droits augmente le prix de revient.

Je pense qu'en rendant échangeables 20% des droits du porc on peut effectivement réduire le prix de revient. Au moins dans ma situation, il l'a fait (de 0.8 à 1 mètre). Et qu'est-ce qui pourrait mal se passer avec un nettoyage à chaud des bouchons. Et personnellement, j'aime l'idée que mes droits de porc valent beaucoup. Je ne peux pas regarder vers l'avenir non plus, mais les droits peuvent être vendus plus rapidement sur les bâtiments.
queue frisée 27 Octobre 2017
Les droits POR ne représentent que 2% de tous les droits porcins. De plus, la moitié des PORders ont toujours simplement possédé les droits. L'effet d'augmentation des prix ne sera pas grand.
Gérard 29 Octobre 2017
Alors que nous retournons dans la vallée et que les années de vaches maigres reviennent, beaucoup sont impatients de s'arrêter et de vendre à n'importe qui à n'importe quel prix. La personne qui continue doit supporter les frais de 1,20 € / 30 €. Chacun peut choisir d'arrêter ou de continuer.
Vous ne pouvez plus répondre.

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