Dans les premières semaines de janvier, les crochets d'abattage se remplissent facilement. Aux Pays-Bas, en Allemagne et en France, les abattages sont nettement plus nombreux qu'à la même période l'année dernière.
Aux Pays-Bas, 319.000 98,30 porcs ont été abattus la semaine dernière, pesant en moyenne 0,30 kilos. Il s'agit d'une augmentation de poids de XNUMX kilo par rapport à la première semaine de janvier. Jamais auparavant les porcs n’avaient pesé autant.
De plus, le chiffre des abattages est supérieur de plus de 9 % à celui de la même semaine de l’année dernière. Par rapport à la moyenne sur 5 ans, c'est un plus de 5,76%. Une remarque complémentaire sur les nombreux abattages est que la semaine 1 a été une semaine d’abattage interrompue ; en 2017, ce n’était pas le cas.
À mesure que le mois de janvier avance, le taux d'abattage diminue généralement. Cette année également, le attente que l'offre excédentaire disparaîtra à mesure que le mois de janvier avancera.
France et Allemagne
La semaine où les abattoirs allemandsprix d'hausse", proclamait-il, 1.005.644 7 5 porcs étaient accrochés aux crochets. C'est XNUMX% de plus que la même semaine l'année dernière. Cependant, par rapport à la moyenne sur cinq ans, l’écart en pourcentage est faible.
Alors que les poids augmentent aux Pays-Bas, le poids moyen (98,69 kilos) en Allemagne est légèrement inférieur. En France, 397.686 10 porcs ont été abattus, soit environ XNUMX % de plus que la semaine dernière l'année dernière.
La gueule de bois au marché de la viande
L'abattoir Danish Crown parle d'une « gueule de bois » sur le marché de la viande en Europe du Nord-Ouest, compte tenu de la baisse des prix. Le prix de presque toutes les pièces est sous pression, en particulier les ventes de jambons et de devant sont médiocres, selon l'entreprise de viande. En termes de volume, les ventes au Japon et en Chine restent stables. Cela peut être considéré comme un point de départ pour stabiliser les prix du porc.