Il existe des contradictions sur le marché européen des porcelets. Par exemple, les cotations en Belgique et en Espagne sont en hausse, mais on constate une baisse significative en Allemagne. Comment le DCA BestPigletPrice (BPP) réagit-il à cela ?
Le comité Nord/Ouest tient parole : après que le rapport de tendance annonçait une réduction de 2,50 € par porcelet la semaine dernière, celle-ci a été mise en œuvre dans le listing aujourd'hui (22 janvier). Cela signifie que le prix allemand du porcelet est tombé à 39 euros par porcelet.
Depuis 2011, le prix du porcelet allemand n'a pas baissé en janvier. La baisse du marché allemand des porcelets est due au prix du porc, qui a déjà augmenté en janvier. en baisse significative est allé. On s'attend à ce qu'il reste à 1 réduction, étant donné que le rapport de tendance pour cette semaine est inchangé.
(Le texte continue sous le graphique)Après 2011, le prix des porcelets allemands n'a plus baissé en janvier.
Le BPP reste debout
En Allemagne, les éleveurs de porcs d'engraissement hésitent encore à élever des porcelets. Cette attitude rigide est également vécue par les commerçants néerlandais. Dans notre propre pays, les ventes sont beaucoup plus fluides et les porcelets sont placés facilement. Dans l’ensemble, il existe une attitude attentiste à travers l’Europe. Les Espagnols semblent également de plus en plus réticents à imposer, même si le prix y a encore augmenté de 0,50 € à 40 € par porcelet. Aussi en Belgique ainsi que diverses citations de porcelets.
Une demande européenne terne est compensée par une offre de porcelets néerlandais relativement limitée. La réduction allemande laisse donc le BPP froid, car la cotation reste à 38 € par porcelet. La cotation danoise reste également à 46,30 € par porcelet (30 kilos).
Vion inchangé
Même si, selon Vion, il existe une pression sur les prix sur le marché de la viande, le prix du porc reste à 1,30 € le kilo. Selon Vion, les ventes de viande connaissent des vents contraires. En soutenant le prix du porc, Vion tente d’enrayer la chute des prix de la viande. C'est ainsi que le plus grand abattoir du pays justifie son choix inchangé.