Le marché du porc peut-il tenir le coup dans l'avant-dernière semaine avant Pâques ? C'est la question qui se pose cette semaine sur le marché porcin européen. Vous pouvez lire ici pourquoi la réponse est oui pour l’instant. Reste à savoir si l’on pourra à nouveau répondre oui à la même question la semaine prochaine.
Au fil de la semaine, la situation sur le marché porcin allemand s'est visiblement améliorée. En début de semaine, l'Internet Exchange a augmenté de 0,02 € à 1,47 € le kilo. Malgré une marge étroite, le prix du porc allemand (cotation VEZG) est resté stable à 1,45 € le kilo. Le comité Nord/Ouest a ainsi contré le pression à la baisse, que Tönnies, leader du marché, aurait exercé.
Le chiffre des abattages allemands est nettement plus élevé
Le marché peut tenir le coup, car d'autres abattoirs allemands acceptent « bien » les porcs. Ils ne souhaitent donc pas de nouvelles réductions. Cela se reflète également dans le salon Internet. Vendredi 23 mars, à la surprise de beaucoup, il a retrouvé la perte du mardi 20 mars (+0,02 € à 1,49 € le kilo). Ce qui joue probablement aussi un rôle, c'est qu'un grand nombre de porcs ont été abattus la semaine dernière (semaine 11). En conséquence, l’offre s’est quelque peu tarie.
(Le texte continue sous le graphique)C'est la troisième fois en 2018 que le chiffre des abattages allemands dépasse à nouveau la barre du million.
Le chiffre des abattages allemands a augmenté de 1 % en 5 semaine à 1.023.945 98,07 5 têtes ; avec un poids moyen à l'abattage de 2,1 kilos. Cette année, le chiffre des abattages n'a jamais été aussi élevé au-dessus de la moyenne quinquennale (+XNUMX%). Malgré la tendance selon laquelle l'approvisionnement dans les abattoirs (allemands) est de plus en plus fixe (concepts), il existe toujours des options de livraison flexibles.
Cela détermine fortement le fonctionnement du marché à court terme. L'enthousiasme de Tönnies s'est également reflété dans le prix de la truie. Celui-ci a diminué de 0,03 € à 0,93 € par kilo. La cotation de Tijs Haarle a baissé de 0,02 € à 1,19 € le kilo (abattu).
Situation aux Pays-Bas
Aux Pays-Bas, les abattoirs peuvent facilement remplir leurs hameçons. Ce n'est pas mal pour les abattoirs, compte tenu des livraisons de Pâques aux détaillants (Better Leven). En dehors de la question de Pâques, on s'en plaint ici et là. mauvaises opportunités de vente; tant en Europe qu'en Asie. Une taxe chinoise à l'importation de 25 % sur porc américain pourrait améliorer les opportunités de ventes en Europe. Reste toutefois à savoir si ce prélèvement sera effectivement mis en œuvre.
Pour l'instant, le marché néerlandais du porc reste un « marché poussé ». Toutefois, le prix d'échange DCA 2.0 pourrait se stabiliser à 1,37 € le kilo pour les porcs abattus jusqu'à la semaine prochaine. Le prix du porc vivant reste bloqué à 1,09 € le kilo. Il est encore difficile de dire comment la situation évoluera après Pâques. L'annulation d'un jour d'abattage (le lundi de Pâques) et l'humeur de Tönnies font que la glace sous les cotations est mince.
Bourse DCA 2.0 (semaine 13) | Énoncés de fourchette de prix | Nombre de problèmes | Moyenne des problèmes |
Sexe 1,37 € (environ) le kilo | €1,36 - €1,38 | 19 | €1,37 |
Live 1,09 € (environ) le kilo | €1,09 - €1,10 | 11 | €1,09 |
Explication des marchés DCA : Les vacances n'apportent pas une humeur positive. Il y a eu une variation de prix négative sur un certain nombre de composants. L'offre de porcs aux Pays-Bas est très importante, ce qui signifie que les commerçants ne sont pas en mesure de proposer les quantités proposées. La semaine prochaine, les gens attendent avec impatience ce que fera l’Allemagne. Une mutation vers le bas est en vue. Si cette attente se réalise, on s’attend à davantage de pression. La stabilisation est donc la plus élevée possible. |
Session de connaissances DCA
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