Même si l'offre de porcs en Allemagne n'est pas importante, les abattoirs allemands importent moins de porcs étrangers. Les importations de porcs et de porcelets néerlandais en particulier ont fortement diminué.
Les chiffres d'AMI montrent que les importations allemandes de porcs vivants et de porcelets ont diminué de 11 %, à 1,99 million de têtes. Les porcs à l'engrais, en particulier, traversent moins souvent la frontière, selon les chiffres de l'Agence néerlandaise pour les entreprises (RVO.nl). Au cours des 12 premières semaines, 525.648 porcs à l'engrais ont été transportés vers l'Allemagne (-21%).
Au cours de la même période, les exportations de porcelets ont diminué de 2,8 %, pour atteindre un peu plus d'un million. Ces porcelets sont principalement destinés aux éleveurs de porcs à l'engrais des États de Basse-Saxe et de Rhénanie du Nord-Westphalie, limitrophes de notre pays.
Encore des massacres aux Pays-Bas
La tendance à la baisse se poursuit depuis un certain temps, en partie à cause du changement de choix génétique dans l'élevage porcin aux Pays-Bas. La « bière finale Tempo » est de plus en plus choisie. Cependant, les descendants Tempo sont moins populaires dans les abattoirs allemands. Les abattoirs néerlandais sont structurels abattre plus, ce qui signifie logiquement qu'il reste davantage de porcs à l'engrais aux Pays-Bas.
(Le texte continue sous le graphique)Depuis l'été 2017, davantage de porcs à l'engrais sont restés aux Pays-Bas.
L'offre danoise est stable
L'offre du Danemark est restée quasiment stable (+1% à 1,61 million). Les Pays-Bas et le Danemark sont de loin les principaux pays fournisseurs. La Belgique et la France suivent aux 3ème et 4ème places. Les importations de porcs belges ont chuté de 18% à 152.000 têtes au premier trimestre. L'offre française affiche une augmentation significative en pourcentage (+55%) à 30.000 XNUMX porcs ; Toutefois, en chiffres exacts, les importations en provenance de France sont minimes.