Noord-Brabant utilise l'exigence d'écuries depuis l'année dernière, avec l'intention de limiter la surface stable de l'élevage intensif. Les abandonneurs et les producteurs ont du mal avec cette politique. Il n'y a pratiquement pas d'histoires de réussite.
"D'abord démolir les écuries et ensuite construire", telle est la devise de la province. Pour chaque 100 m2 nouvelle grange doit (dans la même zone) 110 m2 à nettoyer dans les écuries. Stoppeur et cultivateur doivent se trouver avant que la pelle puisse s'enfoncer dans le sol. René Dilven, conseiller immobilier chez DLV Advies, appelle le stationnement une réglementation complexe dans la transaction d'achat. L'exigence est qu'un entrepreneur ait démoli ou réaménagé la grange à l'avance. "Cela peut représenter un investissement important et chronophage si les compteurs n'ont pas encore été vendus ou réutilisés."
L'acheteur doit déjà avoir les horodateurs dans le sac lors de la première phase de la demande de permis. La modification d'un plan de zonage prend au moins 9 mois et, hors parking, peut coûter seulement 25.000 XNUMX €. "Un entrepreneur doit donc supporter des coûts importants", explique Dilven. Si le permis n'est pas délivré, les horodateurs peuvent être revendus. Selon Dilven, cependant, il n'est pas dit que les compteurs conservent leur valeur.
Incertitude avec laveur d'air
Les éleveurs de porcs ont un défi supplémentaire depuis la mi-juillet. Le ministère de l'Infrastructure et de la Gestion de l'eau (I&W) a considérablement réduit les facteurs d'émission pour les odeurs des épurateurs d'air combinés et biologiques. Selon Dilven, la politique de Noord-Brabant décourage l'utilisation d'épurateurs d'air dans tous les cas et se concentre sur d'autres systèmes d'étable (par exemple les «toilettes pour porcs»). La question est de savoir dans quoi investir en tant qu'entrepreneur. "Personne ne veut être un cobaye."
Tous ces facteurs signifient qu'il y a eu peu de réussites à ce jour. Dilven connaît 2 candidatures qui ont abouti. Il a également une poignée de propositions concrètes en attente. Il peut y avoir plus d'applications en 2019; en vue du dispositif stoppeur qui arrivera à échéance en 2020. Dilven dit que la politique provinciale devrait être plus claire. Selon le conseiller immobilier, Noord-Brabant veut travailler sur des "réglementations viables". Il opte pour une exemption pour les plus petits projets. "Par exemple dans des projets jusqu'à 200 m2, où aucun numéro d'animal supplémentaire n'est impliqué."
Ce n'est pas une tempête
Un porte-parole de la province du Brabant confirme que les candidatures ne se bousculent pas. Les compteurs de construction sont en effet disponibles ; notamment en ce qui concerne le régime d'arrêt de travail. "Il y a aussi une question ici et là, mais cela ne débouche guère sur des demandes", précise le porte-parole. Selon lui, 5 applications sont connues à ce jour. Les extenseurs sont principalement des éleveurs de porcs ; les bouchons proviennent à la fois de l'élevage porcin et avicole.
Le porte-parole affirme que des informations ont été données par endroits ces derniers mois ; aux entrepreneurs, mais aussi aux conseillers et aux décideurs politiques. Difficile d'estimer combien il y aura de candidatures dans les prochains mois, selon le porteur de projet. Selon Verzantvoort, les entrepreneurs ont adopté une attitude attentiste, en partie alimentée par la décision du tribunal de Den Bosch.
Fin mai, le juge a statué que la commune de Reusel-De Mierden ne pouvait pas refuser l'agrandissement d'une exploitation porcine, sur la base de l'exigence de stabulation. En effet, la demande de permis était en phase finale, ce qui rendait l'exigence déraisonnable. Verzantvoort peut imaginer que cette décision a des conséquences sur les nouvelles demandes. ZLTO a également des poursuites en cours, dont les entrepreneurs veulent probablement attendre les verdicts.
Dépendant de tiers
Il y a officiellement 8 semaines entre la demande et la délivrance. "Quand tout est en ordre, ça peut aussi s'arranger dans les 2 semaines", assure le porte-parole. Cependant, en l'absence de données, la demande peut prendre beaucoup plus de temps. Il connaît un exemple où un bouchon avait loué son écurie. Le bail a été résilié afin d'initier la demande de stationnement. Le protocole que l'entrepreneur doit démontrer est que la grange a été utilisée commercialement au cours des 3 dernières années. Pour cela, il dépend du relevé combiné du locataire. Par frustration au sujet du bail résilié, il n'est pas venu avec les informations sur le pont. "Dans ce cas, la procédure sera retardée."
Tarifs et offre
Selon le porte-parole, les demandes des 6 aires de stationnement se sont jusqu'à présent principalement concentrées dans les communes du Nord-Brabant. Selon Dilven, c'est là que se trouve l'offre. « Tarifs de 30 € à 40 € le m2 sont courants », explique Dilven. Dans les zones proches de Tilburg et d'Eindhoven, l'offre est plus rare en raison des réglementations précédentes. Il est difficile d'estimer ce que coûteront les horodateurs à l'avenir, selon le conseiller immobilier DLV.
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