2019 gaat voor de Nederlandse varkenshouderij als een opmerkelijk goed jaar in de boeken, zo geeft de Rabobank aan in de eerste kwartaalupdate van 2020. Ook voor komende maanden is bank positief over de varkensprijzen.
Selon Rabobank, le secteur de l'élevage porcin peut se prévaloir d'une année mouvementée. Les prix élevés des porcelets et des porcs, dus à des exportations de viande bien gérées vers la Chine, ont donné lieu à des bénéfices alimentaires euphoriquement élevés. Dans le même temps, la peste porcine africaine était de plus en plus préoccupante et l’agriculture néerlandaise était en proie à la crise de l’azote.
En Europe, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la France et l'Espagne ont particulièrement bénéficié de la forte demande de viande de la Chine. Cela a alimenté une production supplémentaire. La production porcine néerlandaise a augmenté de 2019 % entre janvier et octobre 3 par rapport à la même période de 2018. Cela équivaut à une augmentation de 1.322 XNUMX tonnes de ventes supplémentaires. Cette augmentation est principalement due à un poids moyen à l’abattage plus élevé et à une baisse des exportations de porcelets vivants et de porcs à l’engrais vers les pays limitrophes.
Les perspectives restent bonnes
Même si les prix du porc ont chuté au début de l'année, Rabobank s'attend à ce que les prix restent relativement élevés jusqu'au printemps. Pour l’heure, les exportations de viande de porc peuvent continuer de s’appuyer sur une bonne demande chinoise. Rabobank s'attend à ce que la demande chinoise maintienne le marché de la viande sous contrôle pendant encore au moins cinq ans. En effet, il faudra au moins 5 ans avant que la population porcine chinoise revienne à son niveau antérieur.
Le nombre de porcs en Chine devrait encore diminuer au premier semestre 2020 en raison d’une pénurie de matériel reproducteur. La banque s'attend à une contraction de la production de 15 à 20 % par rapport à 2019. Malgré le fait que les États-Unis ont récemment conclu un accord commercial avec la Chine, Rabobank s'attend à ce que l'Europe reste le principal fournisseur de viande de porc du pays asiatique. Une condition est que l’Europe puisse maîtriser la peste porcine africaine.
le Brexit
L’imminence du Brexit, qui aura lieu officiellement le week-end prochain, est un sujet d’inquiétude. Après tout, le Royaume-Uni constitue un marché de vente important pour la viande de porc néerlandaise. L’incertitude dépend actuellement des accords qui seront conclus et sous quelle forme. La réponse à cette question est cruciale pour le taux de change de la livre sterling.
On s’attend à ce que le Royaume-Uni continue de maintenir les normes de qualité de l’UE, ce qui est positif pour les exportations de viande de porc. Cela limite l’influence de tout éventuel accord commercial sur le porc entre le Royaume-Uni et les États-Unis.
Rabobank prédit que le niveau d’autosuffisance des Britanniques va augmenter. Les Britanniques ont importé 10 740.000 tonnes de viande de porc au cours des 6 premiers mois de l'année dernière. C'est 3% de moins qu'à la même période l'année précédente. La production porcine a augmenté de XNUMX % au cours de la même période.
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Selon Rabobank, le secteur de l'élevage porcin peut se prévaloir d'une année mouvementée. Les prix élevés des porcelets et des porcs, dus à des exportations de viande bien gérées vers la Chine, ont donné lieu à des bénéfices alimentaires euphoriquement élevés. Dans le même temps, la peste porcine africaine était de plus en plus préoccupante et l’agriculture néerlandaise était en proie à la crise de l’azote.
En Europe, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la France et l'Espagne ont particulièrement bénéficié de la forte demande de viande de la Chine. Cela a alimenté une production supplémentaire. La production porcine néerlandaise a augmenté de 2019 % entre janvier et octobre 3 par rapport à la même période de 2018. Cela équivaut à une augmentation de 1.322 XNUMX tonnes de ventes supplémentaires. Cette augmentation est principalement due à un poids moyen à l’abattage plus élevé et à une baisse des exportations de porcelets vivants et de porcs à l’engrais vers les pays limitrophes.
Les perspectives restent bonnes
Même si les prix du porc ont chuté au début de l'année, Rabobank s'attend à ce que les prix restent relativement élevés jusqu'au printemps. Pour l’heure, les exportations de viande de porc peuvent continuer de s’appuyer sur une bonne demande chinoise. Rabobank s'attend à ce que la demande chinoise maintienne le marché de la viande sous contrôle pendant encore au moins cinq ans. En effet, il faudra au moins 5 ans avant que la population porcine chinoise revienne à son niveau antérieur.
Le nombre de porcs en Chine devrait encore diminuer au premier semestre 2020 en raison d’une pénurie de matériel reproducteur. La banque s'attend à une contraction de la production de 15 à 20 % par rapport à 2019. Malgré le fait que les États-Unis ont récemment conclu un accord commercial avec la Chine, Rabobank s'attend à ce que l'Europe reste le principal fournisseur de viande de porc du pays asiatique. Une condition est que l’Europe puisse maîtriser la peste porcine africaine.
le Brexit
L’imminence du Brexit, qui aura lieu officiellement le week-end prochain, est un sujet d’inquiétude. Après tout, le Royaume-Uni constitue un marché de vente important pour la viande de porc néerlandaise. L’incertitude dépend actuellement des accords qui seront conclus et sous quelle forme. La réponse à cette question est cruciale pour le taux de change de la livre sterling.
On s’attend à ce que le Royaume-Uni continue de maintenir les normes de qualité de l’UE, ce qui est positif pour les exportations de viande de porc. Cela limite l’influence de tout éventuel accord commercial sur le porc entre le Royaume-Uni et les États-Unis.
Rabobank prédit que le niveau d’autosuffisance des Britanniques va augmenter. Les Britanniques ont importé 10 740.000 tonnes de viande de porc au cours des 6 premiers mois de l'année dernière. C'est 3% de moins qu'à la même période l'année précédente. La production porcine a augmenté de XNUMX % au cours de la même période.