C'est une situation quelque peu étrange sur le marché du porc. L'approvisionnement en porc aux Pays-Bas n'est certainement pas serré et il y a aussi une certaine incertitude due au virus corona. Dans le même temps, les cotations allemandes augmentent. Et la bourse DCA 2.0 répond à cela.
Après que les abattoirs allemands (Vion et Tönnies) aient utilisé une Hauspreise la semaine dernière, ils ont augmenté la liste mercredi dernier. Ils ont tous deux augmenté de 0,03 € à 1,85 € le kilo et sont donc revenus à égalité avec la cotation VEZG. Le point d'échange Internet est désormais passé à 1,98 € le kilo. L'indicateur du marché allemand du porc a augmenté vendredi, complètement contre les attentes, de pas moins de 6 centimes.
Offre allemande serrée
La cotation allemande en hausse symbolise l'approvisionnement serré en porcs. Le chiffre des abattages était également bien en dessous de la barre du million la semaine dernière. Il y a encore beaucoup de place pour le placement en Allemagne vers la semaine prochaine, selon les commerçants. Aux Pays-Bas, l'offre et la demande sont plus équilibrées. Cela ressort également des chiffres d'abattage de ces dernières semaines, qui sont restés bien au-dessus de la limite des 1 300.000. De plus, le poids moyen à l'abattage est toujours supérieur à 100 kilos. Selon certains commerçants, il s'agit d'un obstacle à un prix plus élevé du porc aux Pays-Bas.
D'autant plus que la situation sur le marché de la viande est encore incertaine. Par exemple, la grande question est de savoir si et quand la Chine recommencera à importer du porc européen, maintenant que le pays est sous l'emprise du virus corona. De plus, les ventes de viande en Europe sont au plus bas, ce qui est approprié pour la période de l'année.
Cours de bourse encore plus élevé
Malgré le fait qu'une augmentation du cours de l'action DCA 2.0 n'est pas un abc, la cotation des porcs abattus sur la base des déclarations augmente de 0,03 € à 1,76 € par kilo. Le prix des porcs vivants majoré de 0,02 € à 1,42 € le kilo. Il sera intéressant de voir comment les abattoirs néerlandais réagiront à cette mutation la semaine prochaine.