La vente de porcelets est très difficile. Le flux de porcs à l'engrais est considérablement perturbé par la perte de capacité d'abattage en Allemagne, ce qui entraîne une augmentation de l'offre excédentaire de jour en jour.
Le marché est bondé et les échanges commerciaux vacillent de tous côtés. C'est parce qu'il n'y a pas assez de clients. Les connexions fixes ne se connectent pas entre elles et les entreprises fermées manquent également d'espace stable. Compte tenu de la baisse des prix, les éleveurs de porcs à l'engrais sont également réticents à accueillir des troupeaux.
Les problèmes s’accentuent également en Allemagne, mais comme les Pays-Bas sont un pays exportateur, la pression est encore plus forte ici. Il n’existe aucun remède au problème. Le site Tönnies à Rheda Wiedenbrück sera fermé jusqu'au vendredi 17 juillet et, d'ici là, la vente de porcs à l'engrais et de porcelets sera limitée. Dans les semaines à venir, le marché aura également besoin de temps pour se redresser.
Le BPP en forte baisse
Le prix allemand du porcelet (VEZG) baisse cette semaine de 6 € à 49 € par porcelet. Aux Pays-Bas, les commerçants optent pour des réductions beaucoup plus importantes. Le DCA BestPigletPrice diminue donc de 10 à 33 € par porcelet. L’espoir est que cette réduction significative conduira à davantage d’espace de placement.
Le prix du porc de Vion a baissé de 4 centimes cette semaine à 1,47 le kilo. Après la réduction de 15 cents la semaine dernière, ce changement n'est en quelque sorte pas trop grave. Vion parle d'un marché de la viande faible en raison de l'absence de saison touristique dans le sud de l'Europe. L'abattoir a également des problèmes de valeur carrée, maintenant que les exportations vers la Chine ont largement disparu.